The technology, an advantage or a disadvantage?
Cours : The technology, an advantage or a disadvantage?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar CaptainDedapool • 27 Mai 2018 • Cours • 4 642 Mots (19 Pages) • 616 Vues
NEZLA Abel
The technology, an advantage or a disadvantage?
- An Advantage
- A Disadvantage
First of all, we will see that technology is an advantage then we will see that the technology is a disadvantage.
First, we have an evolution of the technology. To beginning there is the locomotive which was created in 1830. It’s a machine which a means of transformation and it allowed. Furthermore, the locomotive enabled to transport things and it was fast.
Secondly, we have the gramophone in 1888. It enabled to listen music. Then there is the I-Pad, it was created in 2010. It’s the latest evolution. It enabled you to do download apps, games, music and films. It’s very practical. Today, we have Internet too. With this we can find what we want when we want and we can chat with some other people all around the world.
To continue, today we have a smart home, a modern house. There is an article to speak about this. For example this article explain that with lightning we can turn the light on or off without a switch with the voices. The thermostat regulation is automatic we can decide to heat the house we can determine the right temperature with our phone. In addition, there is a home security too, it’s an alarm and movement detection.
The technology is nice but there is a disadvantage: it’s accessible for rich person.
In fact, in an oral document there is a person, Jeff who doesn’t like technology and Todd who thinks that technology makes better life. For Jeff technology was invented for convenience to make life easier and give more free time. It has gone against this it’s not the expected evolution. In addition people spend their time on news technologies to checking emails, voicemail etc… it’s cluttered. In this document Jeff prefers postcards to texts, he prefers writing a nice letter from writing an email. He likes reading books better than reading news. He’d rather read poetry books than news.
What’s more, with the technology we can
L’Horloge, Baudelaire
Introduction
L'horloge est le dernier poème de la section « Spleen et Idéal »
Thème du temps, classique dans la poésie romantique et dans Les Fleurs du Mal. Pour Baudelaire, le temps est un poids, démesurément long quand le poète s’ennuie, c’est un supplice.
Annonce des axes
I. Le temps, thème principal du poème
II. L'image que Baudelaire donne du temps
III. L'image qu'il donne de l'Homme soumis au temps
Commentaire littéraire
I. Le temps, thème principal du poème
Par sa composition, c’est une image du temps : 6 strophes de 4 alexandrins : 6 x 4 = 24, même division qu’un cadran d’horloge. Chaque quatrain a 4 vers : autant que de quarts d’heure.
Poème établit sur des rimes : 12, sont alternées comme l’alternance droite-gauche du balancier.
Les vers sont rythmés très régulièrement : par 6 syllabes (malgré quelques ruptures dans le rythme aux vers 9, v11, v15, v19), par la ponctuation : virgule (v1, v18, v22, v24), tiret (v 10), point d’exclamation (v1, v10, v13), point virgule (v20), parenthèses (v14, v23), par la grammaire : conjonction de coordination (v2), préposition (v3, v4, v8, v12, v16), relatif (v21).
Le poème fonctionne comme une mécanique d’horloge.
Champ lexical de l’horlogerie (= ensemble des instruments crées par l’Homme pour mesurer SON temps) : cadran (v1, v4), son (v14, v20, v21) – horloge la plus primitive (clepsydre) à horloge moderne (cadran solaire) + jacquemart (v5-6) – métaphore sur le cadran solaire (v2, v5-6)
Division du temps, rappel du décompte : v 7, v9, v15, v21, temps naturel : v 8, v 19, série d’adverbes : v4 écho à v24, v11, v20-21-22, complément circonstanciel de temps : v 8 et 9 + « où »
Système des temps employés : présent d’habitude (v2) , présent d’impératif « souviens-toi », présent de vérité générale (v17), présent d’actualité (v24)
futur (…) passé : participe passé (v8), passé composé (v12)
Un adjectif traduit l’effet du temps sur l’Homme : « vieux lâche » : rappel que la vie a passé pour lui, le temps vieillit les êtres. Résultat : sensation presque physique du temps qui passe.
II. L’image que Baudelaire donne du temps
Expérience commune : v2, « nous » désigne tous les Hommes, mais aussi expérience individuelle : «souviens-toi», expérience personnelle à laquelle chacun est confronté (v8, v14)
Temps dominateur : v1 « dieu » :position de divinité personnifiée, « son doigt nous menace » : en nous créant, Dieu nous soumet au temps. S’exprime à l’impératif « souviens-toi »
Temps puissant : v18 « gagne », dépourvu d’émotions v1 « impassible », v18 « sans tricher »
Temps investi d’un savoir : v1 « sinistre » [sinister : celui qui dit l’avenir]
Le poème est un long discours du temps aux Hommes, il commence et s’achève sur ce qu’il se produira (v4, v5, v21, v24) le temps connaît l’avenir
Il représente toutes les sciences : v14 « parle toutes les langues »
Il est hostile : v2 « menace », v12 « pompé », v17 « avide », v20 « a toujours soif » v9 « dévore » : // ogre qui consomme les Hommes, leur chair, leur liquide : c’est une agression, un ennemi.
III. L’image qu’il donne de l’Homme soumis au temps
Anonyme
Démuni v3 « plein d’effroi », dépouillé de son plaisir v7,
Promis à la mort v12, v15, v24
Dépourvu de conscience et de sérieux : refrain « souviens-toi » : garde présent à l’esprit ton avenir, pas de souvenir du passé
Insouciant : v15 oxymore « mortel folâtre », gravité opposée à gaieté
Très dépensier : v13 « prodigue » (= dépenser sans compter).
Méprisable : laisse échapper sa vie sans conscience de sa préciosité v16, remet à plus tard le soin de vivre, il repousse la vertu qui, à sa mort est « encore vierge » v22.
Conclusion
Biographie banale d’un Homme ordinaire en 3 époques, // 3 actes d’une tragédie :
- saison du plaisir (strophe 2)
- saison de la paresse, vie dépensée à ne rien produire (strophe 4)
- tardifs regrets d’avoir oublié les valeurs (strophe 6)
Caractéristiques de la tragédie : v2, puissances divines menacent le destin de l’Homme qui se perd au lieu de s’affronter à la vie, de construire une existence de vertu. Il est averti mais porte en lui les causes même de son châtiment (parallèle avec Dom Juan de Molière).
Elargissement possible : L’Ennemi X et le Guignon XI.
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