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Méthodologie de la synthèse

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Par   •  24 Janvier 2017  •  Cours  •  589 Mots (3 Pages)  •  1 330 Vues

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Méthodologie de la synthèse de documents

Dm du 28 Octobre 2016

Problématiques :

  • Sommes-nous obligés de vivre la vie qui nous est imposée par notre sexe ?
  • Le cerveau est-il forcément féminin ou masculin ?
  • Femmes et hommes, a-t-on les mêmes chances ?

Document 1 : « Le cerveau n’a pas de sexe », de Catherine DAVID, article paru dans le Nouvel Observateur le 24 février 2005.

Document 2 : « nous ne sommes pas sexuellement déterminés », de Judith BUTLER, article paru dans l’Express le 6 juin 2005.

Document 3 : « C’est Dieu qui l’a voulu », d’Hubert BLATZ, document iconographique paru en 2006.

Document 4 : « Les amantes», d’Elfried JELINEK, récit littéraire édité par Jacqueline Chambon paru en 1975.

Pistes de réflexion

- Les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes capacités (l.1 à 4) ;

- Cela est génétique (l.5) ;

- Même si les femmes le voulaient, elles n’arriveraient pas à les lire car leur cerveau est féminin et il a certaines limites (l.7 à 9) ;

- Les femmes sont « faites » pour les métiers manuels (l.10 et 11) ;

- Le monde à des opinions bien arrêtées qu’il considère comme des vérités, de plus les médias contribuent à l’expansion de ses théories pseudo-scientifique (l.13 à 20) ;

- Des écrivains profitent des médias pour vendre leurs écrits sur la différence qu’il faut conserver entre les hommes et les femmes, le livre de Doreen KIMURA, « Cerveau d’homme, cerveau de femme ? ». Elle dis par exemple qu’il faut adapté la scolarité par rapport au sexe de la personne car un garçon n’a pas les mêmes atouts et handicaps qu’une fille et qu’il ne faut pas aller « contre nature », par exemple, la tendance naturelle ne permet pas au femme de poursuivre leurs études dans les filières scientifique (l.22 à 35) ;

- Notre personnalité serait entièrement déterminée par notre code génétique (l.37 à 38) ;

- Certains auteurs et certaines revues scientifiques contribuent à la permanence de ces « âneries réductionnistes » (l.39 à 43) ;

- Avec l’aide des nouvelles technologies, le cerveau est plus facile à comprendre, on sait désormais qu’il est constamment en évolution en fonction des expériences qu’il à vécu, mais il existe encore d’innombrables zones d’ombres à explorer (l.44 à 51) ;

- On peut donc en déduire que le cerveau n’est pas donné à la naissance mais qu’il évolue tout au long de sa vie (l.51 à 53) ;

- Catherine VIDAL mène donc une « croisade » contre le réductionnisme neuronal et contre les gens qui l’utilisent dans un but précis (commerciales, politique, etc…) (l.55 à 58).

- Dès la naissance, on est obnubilé par le sexe de l’enfant, en fonction de ce dernier on lui décriera déjà la vie qu’il doit suivre (l.1 à 6) ;

- Une fille devra suivre un scénario qui se décompose de la façon suivante : elle deviendra une belle jeune femme, qui épousera un bon mari à qui elle donnera des enfants. Voilà ce qui est acceptable en société (l.3 à 9) ;

- Nous effectuons une représentation dans cette histoire car nous n’avons pas la liberté de jouer ou non un personnage (l.11 à 15) ;

- Pour faire parti des humains, nous sommes obligés de nous conformer à la norme masculine ou féminine, cela va nous permettre d’avoir une identité reconnue par les autres et pour pouvoir penser et agir (l.15 à 18) ;

- On a encore une marge de manœuvre, en jouant avec les caractéristiques de la norme, mais cette dernière varie en fonction de l’histoire ou des cultures (l.19 à 23) ;

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