L’usage du monde
Des cultures, des paysages, des découvertes. Nicolas Bouvier un écrivain suisse du XXème siècle, chef-d'œuvre de la littérature de voyage grâce a ses récits, plus précisément son œuvre intitulé l’usage du monde. Son voyage vers L’Orient, la plupart avec son ami Thierry, nous montre les nouvelles cultures et réflexions qu’il acquiert pendant le voyage.
Il est pertinent de se demander : En quoi le voyage et la découverte du monde et de l'autre permettent-ils de mieux se connaître soi-même ? Tout d’abord nous aborderons l’aspect de la découverte des nouvelles cultures et enfin nous serons amenés à remarquer cette interprétation en revenant sur les changements de pensé dues a cause du voyage.
Dans un premier temps Nicolas Bouvier nous décrits des nouvelles cultures a cause des ses plusieurs voyages sur l’Orient. Il s’occupait à observer les nouveaux endroits ; à les détailler. <> pg 14, <> aussi des personnes et cultures << un vieux monde sortait de l’ombre. {…} le Tzigane en loques et le pope á barbe fourchue se soufflaient leurs histoires autour du samovar>> pg 41. De même il écrit avec un vocabulaire complexe pour nous faire sentir les nouveautés que découvrait. <> Bouvier s’étonne de voir cultures aussi instruits d’autre part qu’Europe. Aussi l’auteur fait un éloge au temps qu’il prend pour découvrir le monde, lui fait plaisir ‘d’avoir son temps pour bien détailler les personnes, l’ambient, les odeurs. << l’agrément dans ces lents voyages en pleine terre c’est – l’exotisme une fois dissipé – qu’on devient sensible aux détails, et par les détails, aux provinces>>. Bouvier ne critique pas ces nouvelles cultures, il analyse les choses d’un point de vue externe, on pourrait dire qu’il était entrain d’apprendre donc il se laisse instruire de la nature et la simplicité des choses. En outre, grâce à ses descriptions, ses analyses, il nous amène dans ces lieux, nous fait connaître ces cultures. On peut penser qu’il nous fait aussi une invitation, une invitation à découvrir ces merveilles qui sont dehors de notre quotidien.
Après avoir détaillé de quelle manière Nicolas Bouvier découvre des nouvelles cultures voyons donc de quelle manière son voyage amène sur lui des changements de pensé.
D’un autre coté, la découverte des nouvelles cultures l’amené sur d’apprentissages. <> Bouvier attendait des changements a cause du voyage. << Le départ est comme une nouvelle naissance>>. Le voyage fait sur lui une nouvelle perspective, une nouvelle manière de voir les lieux, des les apprécier. Nicolas bouvier avait la pensé de que les voyages nous aident à changer pour affronter des situations compliques qui étaient loin de notre ‘’confort-zone’’. << Passé à un certain degré de coriacité ou de misère, la vie parfois ce réveille et cicatrice tout {…}>> Il exergue que les expériences pendant les voyages nous apportent des changements signifiants a la pensé et dans not être à la fin de tout aventure. On peut se découvrir en voyageant. << Un voyage se passe de motifs. Il ne tarde pas à prouver qu’il se suffit a lui-même. On croit qu’on va faire un voyage, mis bientôt c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait>> Le voyage ‘’nous fait’’ ou ‘’nous défait’’. C’est une révélation, le voyage est le pont qui connecte finalement notre esprit avec nous. Le voyage permet grâce a ses expériences, difficultés et découvertes de mieux nous connaître. Finalement Bouvier se contredit en disent que ce voyage ne la rien apporté << Et puis pourquoi s’obstiner à parler de ce voyage ? quel rapport avec ma vie présente ? aucun, et je n’ai plus de présent.>> mais déplorer ce voyage pourrait bien être par sa condition 6 ans après, qu’était réellement déplorable. << je suis presque mort pour ma femme qui est bien bonne de n’avoir pas encore mis la clé sous la porte. Je passe de la rêverie stérile a la panique, ne renonçant pas, ne pouvant plus>>. Néanmoins est maladroit de dire que le voyage effectué par Nicolas Bouvier ne l’avait apporté rien. Ce voyage le nourri des cultures, des nouvelles pensées et un remplissage spirituel.
