Discours violences conjugales

Violence conjugale

Bonjour mesdames et messieurs les députés . Aujourd’hui , j’aimerais parler pour ,cette femme à côté de vous. Elle a un enfant mais sa vie est un enfer. Une boule de plus en plus grosse se forme dans son estomac par appréhension du soir quand son mari rentre. Passant par les violences physiques , psychologiques ou même sexuel son mari la bat pour des raisons diverses.

J’aimerais parler pour ,cette jeune femme en couple depuis peu avec un homme . Il est plus âgé qu’elle. Ils ont décidé d’emménager ensemble et lui a décidé de montré son vrai visage . Celui d’un homme violent et destructeur.

J’aimerais parler pour toutes ces femmes qui n’avait aucune issues pour échapper aux insultes systématique et à la violence de leurs hommes durant le confinement .

Non , Mesdames , messieurs , je ne me permettrais pas de faire de généralité tout simplement parce que tous les hommes ne sont pas comme ça, encore beaucoup d’hommes sont bon , mais je ne vous parle pas d’eux je vous parle de ceux qui ont perdu leur humanité le jour ou ils ont levé la main sur leur femme. Ou peut-être faudrait-il dire leur choses, leur bien ?

Je ne me permettrais pas non plus de dire que ceci arrive qu’aux femme, les hommes aussi en sont victimes, mais j’ai choisi d’aborder le thème de la violence conjugale à l’égard des femmes parce que ce phénomène les concerne dans la majorité des cas. Alors oui vous allez me dire que ces femmes on des aides comme un numéro à leur disposition ou porter plainte.

Je vous le rappelle, mais ces femmes ont peur, peur de parler, peur d’être humiliée, jugée.

Pensez-vous qu’elles témoigneront toutes ? Qu’elles enlèveront ce poids sur leurs épaules ? Toutes ces femmes agresser par leurs hommes auront des traces physiques et mentales à vie , et c’est qu’à partir de 1975 que les choses ont commencer à bouger. 1975, 47 ans en arrière. Pensez-vous pas que ces actions ont été faite trop tard ? Alors oui ces violences ne s’arrêteront sûrement jamais soyons honnête avec nous-même , mais pouvons-nous au moins trouver des solutions pour mieux aider ces femmes dans le besoin ?

Merci de votre attention.

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