Cas H2 0

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I-         Ce texte nous fait part de la gestion de l’entreprise H2O sur une période marquée par une crise économique. Tout semble aller bien avant la crise, l’entreprise fait du profit et les employés sont heureux et motives. Mais après cet évènement historique de 2008, comme bon nombre d’entreprises, H20 n’a pas su gérer. Les fondements qu’elle avait pu créer se sont effondres comme un château de carte et son squelette ne tenait plus droit si bien que sa situation n’a fait qu’empirer.

M. Herve, à ce moment propriétaire de 37,5%, et PDG de l’entreprise, n’a pas su s’adapter et prendre les bonnes décisions pour la relancer. En tout cas pas de façon efficace. Et c’est ici que se trouve le problème principal. Au lieu de s’efforcer de maintenir une ambiance de travail épanouissante pour ses employés et de les soutenir pendant les temps difficiles, il s’est montre de plus en plus absent, de plus en plus distant, brisant ainsi l’équilibre qui régnait auparavant. M Couture s’est vu dans l’obligation de trouver des solutions et de prendre des initiatives pour éviter le redressement de H2O. Certaines taches étaient ingrates et les rapports au sein de l’entreprise se tendaient de plus en plus. Dans l’incapacité de gérer la crise, M Herve dû licencier des employés importants à qui il a promis beaucoup et s’est retrouve à faire face à des problèmes avec d’autres employés essayant de lui faire de la concurrence déloyale. Les réunions pour rechercher des solutions aux problèmes n’étaient pas efficaces car personne n’en voyait l’intérêt. Pend t ce temps M Herve refusait d’assumer ses échecs et se convainquait qu’il n’était pas le responsable.

Devant cette incapacité à prendre des décisions adaptées et de redonner un climat paisible a l’entreprise, il fallut attendre sa démission et de nouveaux gérants, plus jeunes et énergique, pour la relancer.

II-        `Selon moi, la logique charismatique est la plus efficace dans notre ère de mondialisation. La concurrence est de plus en plus dure et l’on a de plus en plus besoin d’avoir un modèle et de croire en quelque chose pour réussir ce que l’on entreprend. C’est le cas d’un simple étudiant comme un employé. Son patron doit l’inspirer, le rassurer sur ses qualités managériales et lui montrer qu’il est apte à prendre de bonnes décisions. Si l’employé n’en est pas profondément convaincu, et que son manager n’est pas homme d’affaire charismatique, il ne fera pas ses taches avec assez de motivation et l’entreprise ne tournera pas à 100%. Il faut être convaincu pour agir, et ceci est vrai de façon générale pour tout car c’est le pilier principal de la motivation, cette motivation même donc l’échéance, le but, nous donne une énergie pour nous lever le matin.

Les logiques formelles et traditionnelles sont pour moi dépassées. L’information est immédiate, les marchés étendus au monde entier, et la concurrence très rude. Nous ne pouvons plus raisonner à petite échelle et la réflexion collective et les décisions d’équipe doivent prédominer. Des entreprises « libérées » se créent et semblent dessiner le futur. La hiérarchie traditionnelle avec le respect du patron comme source indiscutable de savoir, n’est plus. L’histoire et les us et coutumes doivent évoluer et l’on ne peut plus jurer sur l’histoire.                                  

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