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Animation socio éducative ou cuturelle Mention Développement de projets, territoires et réseaux

Étude de cas : Animation socio éducative ou cuturelle Mention Développement de projets, territoires et réseaux. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  17 Mars 2024  •  Étude de cas  •  3 088 Mots (13 Pages)  •  144 Vues

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Formation DEJEPS Animation socio éducative ou cuturelle

Mention Développement de projets, territoires et réseaux

QUESTIONNEMENT, ANALYSE, PROBLÉMATIQUE

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SOMMAIRE

I LE QUESTIONNEMENT DE DEPART        page 3

II LES ELEMENTS DU CONSTAT

A Les éléments qualitatifs……....…….…………………………………        page 4

B Les éléments quantitatifs….…………………………………………..        page 6

C Les éléments théoriques        page 7

III LE DIAGNOSTIC, LA CONCLUSION        page 9

IV LA PROBLEMATIQUE DE TRAVAIL        page 10

BIBLIOGRAPHIE        page 11

I . LE QUESTIONNEMENT DE DEPART

L'informatique prend une place toujours plus importante dans la vie de tous les jours. Que ce soit au travail ou à la maison, l'informatique est devenu un outil presque indispensable.

Les entreprises recherchent de plus en plus une main d'oeuvre un minimum qualifiée pour palier aux changements technologiques et à la maison, les enfants utilisent aussi de plus en plus l'ordinateur pour leurs apprentissages scolaires. De plus, beaucoup d’activités coutumières se pratiquent aujourd’hui à l’aide de l’outil informatique, et notamment d’Internet, comme la gestion des comptes en ligne, la recherche d’itinéraires, d’une location, la réservation de billets, ou la consultation d’horaires.

On commence également à voir apparaître des projets pilotes dans le système éducatif comme le tableau blanc interactif, l’espace numérique de travail, et des clés USB sont dores et déjà distribuées dans de très nombreux collèges.

Ainsi, l'apprentissage de l'informatique chez les jeunes est devenu un besoin important dans le système éducatif.

Travaillant au sein de l’IME depuis maintenant plus de trois ans, notamment au niveau de la mise en place et de la maintenance du matériel informatique, j’ai pu effectuer un certains nombres d’observations sur l’utilisation de cet outil.

L’accent est mis depuis quelques années (7 ou 8 ans) sur l’équipement informatique de l’établissement, selon les directives de l’Education Nationale, un de nos principaux partenaires institutionnel, qui encourage l’utilisation des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication), et plus généralement du Gouvernement pour qui la réduction de la « Fracture numérique » est un des grands chantiers de ces deux dernières décennies.

Ainsi, la volonté de l’établissement a été de suivre ces directives et de se doter d’un équipement assez conséquent au cours de ces dernières années. Un site Internet assez fourni est en activité depuis environ 4 ans. Il présente l’établissement et son fonctionnement et rend compte des activités, sorties et visites diverses des jeunes de l’IME.

L’établissement est relativement bien équipé, et se donne les moyens de continuer à l’être, mais l’exploitation de ce matériel ne semble cependant pas correspondre à l’utilisation et aux résultats que l’on pourrait judicieusement en attendre. Le potentiel de cet équipement ne parait pas être utilisé de façon suffisamment pertinente.

II . LES ELEMENTS DU CONSTAT

A- Les éléments qualitatifs        

Si l’on se réfère au projet d’établissement, les principales missions de l’IME sont de

« favoriser l’acquisition des compétences et l’épanouissement de chacun, de préparer dès son entrée et accompagner chaque jeune vers l’insertion sociale et professionnelle, d’innover pour optimiser les moyens mis en place afin d’atteindre les objectifs fixés ».

Or l’informatique semble faire partie intégrante des outils qui permettent d’atteindre ces objectifs dans la conjoncture actuelle.

De plus, de nombreux auteur ont fait des recherches sur l’influence de l’informatique dans les apprentissages de base, et démontrent l’aspect déclenchant et motivant de cet outil. C’est donc un moyen pour les jeunes de l’Ime d’évoluer dans leur pratique de l’écrit et de la lecture sans avoir l’impression d’être dans un cadre trop scolaire, souvent source d’échecs pour eux, et donc démotivant.

Les habitudes de travail des adultes, notamment au niveau de la préparation des cours pour les enseignants et de la préparation des activités éducatives pour les éducateurs ont bien intégré cet outil, qui est devenu aujourd’hui pour eux incontournable, et c’est un aspect positif de part le côté pratique, plus attrayant et diversifié de ces travaux de préparation, de part la rapidité de mise en œuvre également.

Il semble cependant qu’il n’en va pas de même pour l’utilisation de l’outil avec les jeunes, qui semble avoir du mal à s’intégrer aux habitudes de travail.

En effet, le B2i (Brevet informatique et Internet) est mis en place depuis quelques années et ne trouve que très peu sa place dans les enseignements, peu de jeunes valident le B2i école vers l’âge de 18 – 20 ans (5 pour l’année 2008-2009), à l’heure du B2i Collège voir Lycée. Bien que le public de l’établissement soit un public de jeunes déficients intellectuels, et que par conséquent, ils soient en décalage sur les apprentissages par rapport à des jeunes du cursus scolaire dit normal, le problème semble se poser dans leur perception de l’équipement, plus comme un moyen de divertissement que comme un outil leur permettant l’apprentissage.

Preuve en est que lors des séances de détentes consacrées uniquement au jeux, de nombreux jeunes se révèlent très autonomes, et ce quel que soit leur niveau de lecture, dans la recherche de jeux sur Internet et la manipulation de ces derniers. Ils se dirigent de manière intuitive au bon endroit pour arriver généralement à leur fin sans intervention de l’adulte ou très peu (pour les non lecteurs, l’écriture d’un mot sur un papier). Pour preuve

les habitudes des jeunes adolescents de côtoyer ou même tenir des blogs, très à la mode ces temps-ci et qui nécessitent un savoir technologique minimum.

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