Rêve et réalité

Depuis la nuit des temps, l’homme et la nature ne font qu’un. En effet, il est soumis à celle-ci et inversement. Grâce à elle, il peut subvenir à ses besoins vitaux telle que se nourrir mais aussi la contempler avec les différents paysages proposés par cette nature. Par ses différents voyageurs tel que, Christophe Colomb et à ceux un peu plus modernes, l'Être a pu découvrir divers horizons. Cependant, au fil des années des changements considérables, ce sont vus imposés au monde. Ceux-ci, ont pu être tant bien positifs que négatifs. Nous allons donc nous demander, dans quelles mesures, à travers ses voyages, l’Homme à t-il transformé son monde paradisiaque ? Pour se faire, nous allons partir à la découverte de ce nouveau monde céleste par la suite, nous verrons ce passage du paradis à l’enfer. 

Dans les premières sociétés humaines, l’Homme était dans un rapport de proximité, et de dépendance vis-à-vis de son cadre. Ne disposant d’aucun savoir scientifique ni de technique élaborée il craint et respecte cette nature, qu’il considère comme une déesse. Auparavant, il avait donc un grand plaisir à contempler et respecter le paysage qui l’entourait. Tel que Claude Lévi-Strauss qui voyait ces sites comme étant, « des œuvres fameuses », « des territoires riches » ou encore « des lieux d’ordres et d’harmonies ». En effet lors de ses premiers voyages l'Humain a pu découvrir différentes perspectives. Des cultures ou bien des décors qu’il n’avait jamais explorer et qui lui ont amenés la passion et la folie de vouloir voir encore plus. Et ceci a notamment pu s’établir grâce aux nombreux grands premiers explorateurs tel que Dias, Colomb, Vasgo de Gama ou bien Magellan, dont leurs buts étaient simplement d’aller et de constater. Comme  Christophe Colomb l’a si bien dit "​On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va".  Entre toutes les architectures et les civilisations diverses l’être humain a donc commencé à se sentir en harmonies avec toutes ces scènes même celles qui lui était étrangère. Ainsi au fur et à mesure il eut l’envie d’excursion car pour lui ceci était synonyme de douceur, de calme, de splendeur absolue et de luxe visuel grâce à toutes les beautés s’y trouvant. Son environnement devient finalement son grand bonheur et l’une de ses plus grandes richesses. 

Auparavant, l'homme s'était contenté de se soumettre aux rythmes climatiques que la nature lui imposait, se moulant dans son environnement sans le transformer réellement. Cependant, avec le développement des sciences et des techniques les individus parviennent à surmonter leurs dépendances en découvrant les lois qui régissent la nature. Cette dernière ne donnant pas assez de ressources à l’homme afin de pouvoir subsister convenablement il doit transformer son paysage, le modifier, déployer un certain labeur de telle sorte à ce que celle-ci puisse lui fournir cette subsistance. Par ailleurs le développement des techniques lui permet d’imposer sa volonté à la nature la rendant ainsi, selon la célèbre expression de Descartes comme « maitre et possesseur de la nature ». C’est donc à présent en voyageant qu’il va pouvoir amener son savoir et ses nouvelles découvertes modernes de pays en pays. Les Hommes vont donc complètement changés les paysages qui les bordes. Et vont transformés le visage des terres qu’ils côtoient ou visite. Aujourd’hui, entre tous les bidonvilles, les ordures les bétons et toutes les machines l’être à laisser une trace aux travers tous ces paysages.  A cause de ce dernier le monde à en quelques sorte perdues une grande partie de son idylle. L'Homme actif et par son activité fabrique un monde artificiel il le pollue et le façonne à sa façon. En faisant ceci, il change toute ses habitudes à lui mais également aux autres être qui l’entoure tel que les animaux. Le paysage qu’ils s’étaient donc appropriés et tout aussi autres a cause de l’influence et la surproduction de l’Humain. 

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