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Psycho social

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Par   •  2 Octobre 2024  •  Synthèse  •  2 554 Mots (11 Pages)  •  40 Vues

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Patchwork d’expérience

Le comportement prosocial

- Le comportement prosocial, ou altruiste, implique le souci des autres et la sollicitude envers les personnes inconnues ou en difficulté.

- Son objectif est de contribuer au bien-être d'autrui, d’être généreux

- Il repose sur une intention volontaire et ne vise pas de récompense en retour.

Désindividuation

- La désindividuation survient en situation de groupe

- Elle entraîne une perte de conscience de soi et de l'identité personnelle

- Elle provoque une désinhibition et la perte du sens de la responsabilité individuelle

- Elle diminue la perception de l'évaluation personnelle

- La désindividualisation se produit dans des groupes entretenant l’anonymat et l’attention de l’individu ailleurs que sur lui même

- Plus la foule est nombreuse, plus les comportements antisociaux sont probables,

- La diffusion/ dilution de responsabilité

- Attribution externe de la responsabilité à d’autres personne potentiellement responsable d’agir, survient lorsque plusieurs s’individu se sente moins responsable d’agir.

- La prise en charge d'une situation par un membre du groupe met généralement fin à la diffusion de responsabilité.

- L'implication et l’intérêt personnelle motive davantage l'action des individus.

Dissonance cognitive

- Le changement d'attitude par le comportement peut provoquer ce que l'on appelle la dissonance cognitive.

- Selon FESTINGER, il y a dissonance cognitive, c'est-à-dire un état de tension désagréable, lorsque deux cognitions  ( pensées, croyances, valeurs) opposées sont simultanément présentes à l'esprit des individus.

- La dissonance n'apparaît que dans certaines conditions :

  - Le sujet doit savoir que son comportement a des conséquences négatives, qu'elles sont prévisibles et qu'elles ont lieu.

  - L'acte commis par la personne contre l'attitude de départ doit être accepté et produit librement (quand on est contraint, il n'y a pas de dissonance cognitive).

  - La personne doit s'en sentir responsable.

  - Le sujet doit ressentir une tension psychologique et même physiologique après l'acte contre-attitudinal.

  - La tension doit être attribuée au comportement commis (si elle peut être attribuée à quelque chose d'autre, alors il n'y a pas de dissonance cognitive).


- La flânerie collective

Également connue sous le nom de paresse sociale, correspond à la tendance des individus à fournir moins d'efforts lorsqu'ils poursuivent un objectif commun que lorsqu'ils sont individuellement responsables de leur performance.

- Cette réduction d'effort se produit dans le contexte où les gens partagent la responsabilité d'une tâche ou d'un objectif collectif.

- Les individus ont tendance à se reposer sur les autres membres du groupe, en supposant que leur contribution personnelle est moins cruciale.

- Cette phénomène peut entraîner une baisse globale de l'efficacité, car chaque personne contribue moins que si elle était seule responsable de la tâche.

Influence sociale

L'amorçage

-Relation : en fonction de l’examen  ( généralement interindividuelle)

- Une technique qui implique d'obtenir l'accord en omettant de révéler l'intégralité du contenu, "la vérité". Le sujet ne découvre la vérité qu'au fur et à mesure, créant ainsi un piège subtil (en utilisant des informations tronquées ou fausses) où l'on ne dévoile pas toutes les informations immédiatement.

-Soumission librement consentie : Fischer souligne que cette soumission sans pression permet à l'individu de croire qu'il conserve sa liberté.

-Selon Fischer, se définit comme un type d'influence qui amène quelqu'un à changer son comportement habituel en lui donnant l'impression qu'il agit de son plein   .

- L'engagement émerge, où la personne adhère mentalement à ce qui lui est demandé. Elle se sent plus impliquée dans son acte ( donc difficulté à se rétracter)

- Coût de l’acte

-Pression réel et implicite,  soit intentionnelle, soit non intentionnelle

-La technique du pied

relation : en fonction de l’examen ( généralement interindividuelle)

-La technique du pied dans la porte repose sur le principe selon lequel des individus qui acceptent une requête peu coûteuse peuvent être incités à émettre ensuite un acte plus coûteux pour eux. -Dans ce cas, une première demande, que l'on s'attend à voir acceptée sans trop de mal, sert uniquement de prétexte à une seconde demande, beaucoup plus coûteuse. -Autrement dit, pour obtenir une grosse faveur, on commence par en demander une petite.

-acte préparatoire visant l’engament du sujet dans quelque chose ( demande-cible) qu’il n’aurait pas spécialement accepté au début

-Soumission librement consentie : Fischer souligne que cette soumission sans pression permet à l'individu de croire qu'il conserve sa liberté.

-Selon Fischer, se définit comme un type d'influence qui amène quelqu'un à changer son comportement habituel en lui donnant l'impression qu'il agit de son plein gré.

- L'engagement émerge, où la personne adhère mentalement à ce qui lui est demandé. Elle se sent plus impliquée dans son acte ( donc difficulté à se rétracter)

- Coût de l’acte

- Pression réel et implicite,  soit intentionnelle, soit non intentionnelle

2.3. L'effet porte-au-nez

Relation : en fonction de l’examen  ( généralement interindividuelle)

Cette technique repose sur un refus initial de la part des individus. Cette technique consiste à faire une première demande très forte à quelqu'un, quelque chose d'irréalisable, qui a beaucoup de chance d'être refusé. Ensuite, on fait la demande-cible, qui est plus faible que la précédente, mais qui a beaucoup plus de chances d'être acceptée. La seconde demande doit être effectuée immédiatement après et par la même personne pour que cela fonctionne.

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