Dissertation sur le thème de l'insécurité

Pour votre dissertation sur le thème de l’insécurité, il faut savoir que l’insécurité désigne l’anxiété, l’angoisse, la peur d’un individu ou d’une collectivité devant ce qui peut se passer, insécurité est donc le contraire de sécurité soit de sérénité.

Dans une autre partie de votre travail sur l’insécurité, il conviendra de cibler les causes d’insécurité, par exemple les questions de délinquance, d’actions terrorismes, de traffics en tous genres, tout cela incité par les problèmes d’emploi, de logement, d’injustice, c’est le débat que vous devrez mener dans votre analyse.

Dans une seconde partie, il s’agira d’établir ce qui pourrait être mis en place pour faire diminuer ce sentiment général d’insécurité, les mesures à prendre en compte comme dès le plus jeune age, la nouvelle réimplication des familles qui semble avoir abandonner tout ça, les notions d’éducation et de respect et non pas toujours les notions de répressions immédiates sans explication, sans écoute, sans connaissance véritable du terrain, ou alors oui répression incontournable et punition réelle des actes commis pour reprise de conscience de la réelle gravité des faits….

Les idées ne manquent pas et le débat ne sera pas vain.

En matière d‘insécurité, il est intéressant aussi de voir le monde carcéral, tous actes punissables doit l’être, le milieu carcéral n’est peut être pas le plus approprié à tous les cas, mais il doit redevenir un endroit à craindre plutôt qu’un endroit où certains délinquants y seront plus heureux que dehors !

Difficile de voir tous les cas d’insécurité, il ne faut surtout pas généraliser mais cependant en utilisant des exemples précis il est possible de débattre sur le sujet. Les pouvoirs publics et les états ont des responsabilités et sont d’ailleurs eux-mêmes responsables de l’insécurité générale qui règne en grande partie à cause des injustices existantes et de cela aussi il faut parler, pour redonner la bonne marche à suivre il faut en premier lieu donner l’exemple et là …..On aurait tant à dire…

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