Le paragraphe d’argumentation

Rédaction

Le paragraphe d’argumentation

De nos jours, la société prend de plus en plus en charge les individus, pour le bien-être commun. Cet aspect est encore plus présent pour les personnes vulnérables telles que les enfants ou les personnes âgées. En effet doit-on les laissés totalement livrés a elles mêmes ou bien exercer une certaine surveillance ?

Oui, il faut laisser vivre leur vie aux enfants et aux personnes âgées. En effet, les enfants doivent devenir autonomes et acquérir une maturité car c’est par ses erreurs qu’on apprend. Quand l’on dit a un enfant que la porte du four est chaude, il négligera nôtre conseil pour aller verifier de ses faits cette affirmation et se brulera bien entendu, de plus on dit parfois que les souvenirs d'enfance sont parmi les meilleurs, pour les créer il faut pouvoir s'amuser, faire des bêtises, rigoler, être libre... D’autre part, il faut aussi laisser vivre leur vie aux personnes âgées. Les personnes âgées resteraient alors confiantes et autonomes, de sorte qu’elles puissent aller faire leurs courses en toute autonomie, ce qui est pour eux une sorte de reconnaissance. Enfin, la liberté peut aussi être un facteur de leur épanouissement. Pour les enfants,par exemple, il faudra bien les laisser un jour alors commençons progressivement, et puis les personnes âgées sont tout de même des adultes.

Néanmoins les surveiller et les contraindre est parfois nécessaire. Les personnes âgées ont moins conscience ou n’ont plus conscience du danger et des conséquence de certains actes. Les escroqueries aux troisième âge sont de nos jours de plus en plus courantes, certains ne vivent même que de ça. D’autre part, il faut tout de même éduquer les enfants et les contraindre à respecter des régles. Un enfant se pense parfois plus grand qu’il ne l’est, il faut donc le guider dans son quotidient. Enfin, le monde change. Des personnes âgées doivent être aider dans ce monde avec ses nouvelles technologie et toute ses évolutions (télévision, voitures électriques, mobiles, ordinateurs), de plus elles ne se rendent souvent pas compte de leur vieillissement et donc de leurs faiblesse.

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