Théorie Des Organisations

Natalia MISHINA

Théorie des organisations

L’étude de cas n°1: Partiel 2009 « Vers une crise des modèles de management ? » Les Echos, Muriel Jasor, 08/10/2009

La crise économique, qui suit son cours dans tous les pays du monde depuis des années, complique la vie aux ménages, aux grandes et petites firmes, au gouvernement, etc. Les entreprises de la France ne sont pas l’exception. Selon l’article « Vers une crise des modèles de management ? » de Muriel Jasor, ils ont en train de vivre l’extinction du modèle pyramidal du management, qui apporte maintenant que le mécontentement du personnel, et comme conséquence son extension dans la presse. Les employes, fatigues de la mode de direction autoritaire, cherchent plutôt de la reconnaissance, de la réalisation de soi, des relations émotives – tout, pour ne pas se sentir juste les moyens de production. Donc, on est arrivé au moment quand on doit chercher les possibilités de sortie de cette situation.

La problématique exprimé dans l’article : Quel sont les effets du modèle classique d’organisation (autoritaire), qui n’est plus d’actualité est efficace, et dans quelle mesure ça amène l’incommodité pour les employes et à la suite les employers ?

Pour analyser ce questionnement on va tout d’abord voir l’évolution des théories de référence en ménagement au sein de la crise économique. Puis on va exposer les théories critiquées par rapport à l'état actuel, théories «oubliés» dans ce panorama et les théories qui peuvent renouveler la vision d’organisation et permettre de sortir de la crise.

Selon Rodolphe Durand l’événement qui est décrit dans l’article « ce n’est pas la crise des modèles de management, c’est plutôt la crise même des fondements de ce qui est légitime dans nos sociétés ». On vit dans le pays démocratique où les gens ne sont pas que la sourde population qui suit aveuglement som meneur, mais ce sont les humains qui ont ses droits, ses idées, ses propres visions de choses et qui veulent et peuvent avoir plus de responsabilités pour se développer. Et c’est exactement la même chose qui est demandée au sein de l’entreprise. Seulement ce désir de changement était apparu juste pendant la période de la crise, car l’atmosphère était déjà dure et tendue, pour le supporter également dans la façon de diriger. En effet, ça a pousse les travailleurs déclarer ses demandes de respect ses droits humains. Même si pendant des années les entreprises ont fonctionné par le principe de l’organisation verticale, qui a devisé très nettement la direction et le personnel, comme tout sur la terre, ce type d’organisation était né, a eu sa prospérité, et maintenant il est venu le temps de disparaître. Il est venu le temps de « remettre en cause les concepts que l’on croyait intangibles ».

Le modèle de management affiche et critique dans cet article a rapport aux théories traditionnelles, qui étaient présentées par les grands chercheurs comme Winston Taylor, Max Weber, Henri Fayol est ses disciples. Taylor dans ses travaux a fait l’accent sur l’organisation du travail manuel, en disant qu’on peut l’améliorer par la division du travail réfléchie (division horizontale), par la sélection des hommes adaptés à chaque tache et leur insertion dans ce domaine, qui vont être motivés par le salaire equitable avec taux aux pièces produites. Max Weber a proposé le modèle bureaucratique ou « découle de la légalité des ordres et de la légitimité de ceux qui les donnent ». Ça devait offrir l’égalité de droit pour le personnel, garantir leur compétence et éviter l’arbitraire. En fait, ça est resté le type idéal, qui ne se réalisera jamais. Henri Fayol, opérationnalisé l’apport de Weber et généralisé certains principes de Taylor, a créé l’idée de répartition d’activités de l’organisation. Il était le premier qui a séparé la fonction administrative

...