Tpe Chirurgie Esthetique

UTILISER LA CHIRURGIE ESTHÉTIQUE POUR COMBLER UN MAL ÊTRE

1- D'où proviennent les complexes ?

L’enthousiasme pour la chirurgie esthétique est un phénomène qui ne cesse de croître, et qui devient de plus en plus accessible. Notre société contribue fortement à attirer les clients des plus jeunes aux plus âgés, par le culte de la jeunesse et de la beauté éternelle.

De plus en plus de personnes ont recouru à la chirurgie esthétique :

- En raison d'un mal-être ?

- D'une mode ?

- De l'environnement médiatique ?

D'après le docteur Daniel Benatar, célèbre chirurgien Français, ces trois points sont vrais.

Les principales causes dues au recourent à la chirurgie esthétique sont tout d'abord, les imperfections physiques, lorsqu’une personne pense résoudre son mal-être en le faisant disparaître. En second lieu, la mode, certaines personnes y ont recours juste parce qu'elle pense que changer leur image leur ouvrira des portes, comme un accès plus facile au monde du travail. Et enfin, la pression médiatique, qui nous impose constamment une vraie dictature de la beauté. Dans notre société, la beauté est une référence très importante. Les adultes refusent d’être marqué par l’âge et les adolescents sont perpétuellement influencés par les médias.

La chirurgie esthétique est un phénomène de société, car les consommateurs de cette technique le font pour plaire à leur entourage.

Les gens consultent en particulier car l’image qu’ils renvoient ne les satisfait pas. Mais au fond si elle ne les satisfait pas c’est uniquement parce qu’ils en ont vu de plus belles voir des parfaites.

Pour résumer, nous pouvons dire que la chirurgie esthétique est dans la société d’aujourd’hui une pratique très présente et même importante

Le principal but de la chirurgie esthétique est effectivement de supprimer un complexe, de préférence de manière définitive. Vivre avec un complexe peut se révéler absolument insupportable. Non seulement la personne souffre profondément, mais elle développe, en outre, des problèmes relationnels avec son entourage, qui ne vont pas arranger les choses. Certains patients vivent ainsi cachés pour ne pas avoir à exposer la cause de leur complexe. Des femmes ne se déshabillent pas devant leur propre mari, d’autres interdisent catégoriquement qu’on les photographie. Cette expression du mal-être prêtera éventuellement à sourire ou paraîtra incompréhensible, mais c’est la traduction, en définitive, d’une souffrance profonde. Le vécu du complexe prend même, à la longue, un caractère obsessionnel pénible. D’une certaine manière, le patient ne peut s’empêcher de le voir en permanence, et à toute occasion. Il devient alors incapable de créer des rapports apaisés avec les autres. Il est toujours sur ses gardes, et imagine que les regards sont constamment posés sur son problème. Il pense, à tort, que tout le monde est aussi attentif à ce complexe que lui. Cette obsession devient un véritable frein à la communication avec les autres individus.

Lorsque le complexe devient obsédant, il est préférable de consulter un spécialiste qui va nous conseiller et regarder si la demande est fondée ou si c’est une idée fixe. Certaines opérations sont remboursées par les caisses d’assurance maladie en cas de malformations importantes nécessitant une intervention, ainsi la chirurgie esthétique apporte des solutions à ceux qui souhaitent changer leurs apparence pour ne plus souffrir de complexes qui leurs gachent la vie.

Aujourd’hui, les opérations de chirurgie plastique sont devenues presque courantes voire incontournables pour certaines femmes qui refusent de se voir vieillir physiquement. Elles peuvent permettre de se sentir mieux dans son corps et, parfois, changer véritablement une vie. Toutefois, certaines questions doivent être abordées afin de ne pas se lancer trop vite dans « l’aventure », au risque de regretter amèrement son choix une fois l’acte réalisé.

Il faut avant tout déterminer les causes exactes de la décision, si la partie du corps à modifier cause un réel mal-être difficile à gérer au quotidien, si elle empêche de réaliser des choses précises au point de bouleverser l’existence de la patiente.

Il faut ensuite évaluer la durée du malaise, depuis son apparition. Depuis combien de temps la patiente est complexée par ce qu’elle juge comme un défaut. En effet, il est possible qu’elle se soit tournée vers l’acte chirurgical de façon trop rapide, à la suite d’une réflexion malvenue, d’un reportage télé vantant les bienfaits ressentis par

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