Robert Desnos
Commentaire de texte : Robert Desnos. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar galouix • 4 Juin 2014 • Commentaire de texte • 480 Mots (2 Pages) • 811 Vues
Demain
Robert Desnos
J’ai choisi cet œuvre secondaire car elle défend les résistants contre le partie nazi donc pousse les français à la résistance .C’est un poème engagé.
« Agé de cent mille ans, j’aurai encore la force ».
Robert Desnos souligne la patience et la noblesse du résistant dans ce vers.
Dans la première strophe le poète attend la liberté, il souligne la force de l’espoir.
Deuxième strophe il évoque l’angoisse du résistant et « Nous » souligne que le doute envahit tous les résistants.
Enfin dans la troisième strophe le poète réaffirme son message d’espoir.
« Le temps vieillard souffrant de multiples »
Figure de style : Personnification
Allégorie : Représentation concrète d’une idée abstraite.
Le poète est à l’image du résistant : Parfois le doute l’envahit mais l’espoir gagne.
Conclusion : Le poème est un éloge de la résistance. La résistance : elle protège, elle est la gardienne de l’espoir et de la liberté.
J’ai choisis en œuvre secondaire d’art plastique « Personne » de Boltanski car il conteste et dénonce le massacre des juifs.
Boltanski est un artistique plasticien français .Il est née en 1944, à la fin de la deuxième guerre mondiale, dans une famille juive. Les thèmes omniprésents dans son œuvre sont l’absence, la mémoire, l’enfance et la mort. Installation occupant tout l’espace du grand Palais à PARIS dans le cadre de la manifestation MONUMENTA qui fait chaque année appel à un artiste contemporain de renommée internationale pour investir les 13 500 m² de la Nef du Grand Palais avec une œuvre spécialement conçue pour l’occasion.
Analyse
Le titre :
Un titre qui signifie aussi bien l’absence (il n’y a personne) que l’individu singulier : une personne. Le pluriel employé renvoie cette identité ingulière dans l’anonymat de la masse, une multitude d’êtres égaux dans la disparition.
Le mur de boîtes rouillées :
Un immense mur de boîtes rouillées se trouve à l’entrée, il coupe le visiteur de l’effervescence de la ville, de la circulation. Il s’annonce comme un basculement d’un univers quotidien dans un tout autre univers (Boltanski parle lui-même de l’enfer de Dante). Ces boîtes de biscuits qui le constituent sont en fer, utilisées depuis longtemps dans le langage plastique de Boltanski, elles portent en elles-mêmes les traces du temps. Les tâches d’oxydation sont les marques des années dans la matière. Les méandres du passé se lisent dans les tons ocre, marron ou gris. Elles parlent des petits secrets de chacun, quand enfant, on y glissait les trésors trouvés, les mots, les bouts de ficelle… Une charge affective s’en dégage. Toutes numérotées et identiques, elles appellent une autre lecture, celle d’urnes funéraires empilées
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