Mythe science universelle

Bonjour,

Le mythe fait partie d'une science dite universelle qu'est la mythologie. Elle est l'expression de l'Univers collectif où se sont imprimés à travers les âges (sur tous les continents, Mesopotamie, Grèce, Andes, Chine, Afrique, etc...) l'expression de l'humain, ce vivant post animal, qui - vous le remarquerez est justement représenté la plupart du temps, avec un corps d'animal et une tête d'homme ou inversement (quand je dis homme je l'emploie au sens générique <homme/femme> ; tous véhiculent une potentialité "vice ou vertu" /qualité ou défaut, suivant le fenêtre d'où l'on tente de les expliquer "religions ou autres organisations sociétales ; telles les républiques".

La réécriture d'un mythe, serait plutôt la mise en actualité des principes anciens.

Bien des auteurs font cela, un immense dans ce domaine fut Jean-Cocteau ; toute son œuvre est placée sur la transposition des mythes antiques à son époque à lui, qui est à présent devenu également du domaine de l'histoire du siècle précédent.

Revisiter un mythe, c'est comprendre SON histoire, celle de son origine, sa fonction ; telle Minerve, dont la tête est chaussée d'un casque, (lutte et protection dans la guerre qu’elle est amener à faire) elle tient dans sa main gauche une chouette, symbolisant la Sagesse ; sa poitrine est couverte de serpents dont l’activité symbolise « La Mort et la renaissance/duperie, cet appel à l’éternel retour <dont Cocteau a également magnifiquement parlé dans un de ses films ce nommant ainsi « L’éternel Retour » Le serpent fait référence et appelle aux forces chtoniennes/souterraines/sexuelles…. Symboles et mythologies sont deux familles distinctes qui s’entrecroisent livrant un langage universel, lisible par tous.

Il suffit de prendre des grands classiques en littérature et de les transposer dans votre actualité. LES HORACE et les CURIACE peuvent devenir des familles athées/Républicaines se confrontant, à mort à d’autres familles religieuses, mono/polythéiste, etc…Ne le voit-on pas partout, sur tous nos écrans. Les combats sont les mêmes, ils demeurent.

Les femmes dans le monde grec n’avaient pas le droit de vote ni d’expression populaire, elles étaient reléguées <même celles de milieux aristocrtiques> comme des esclaves sur le plan politique ; aurourd’hui vous pourriez fort bien transposer cela en regardant autour de vous. .

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