Le néolibéralisme Et Les Inégalités Sociales
Mémoires Gratuits : Le néolibéralisme Et Les Inégalités Sociales. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bellaes • 20 Janvier 2013 • 1 348 Mots (6 Pages) • 945 Vues
Le néolibéralisme et les inégalités sociales
La société industrielle s’est développée au siècle dernier, à une époque de l’histoire ou l’on se fiait sur la rationalisation des procédés de production et ou on utilisait sans limites dans le progrès et dans la science. Ceci devait solutionner tous les problèmes, y compris les problèmes sociaux. Près d’un siècle plus tard les sociétés occidentales sont aux prises avec des problèmes résultant du type de développement que nous avons privilégié. Certes, la science et la technologie ont permis de solutionner la pollution, la pauvreté, les maladies industrielle, etc. Mais, elles en ont créé de nouveaux. Ce siècle se résume en une remise en question dans plusieurs domaines. Par contre, vers les années 1980 la rationalité et le progrès technique commença à être remise en question au sein des sociétés occidentale. Dans ce travail nous nous attarderons sur le contexte sociohistorique, les théories sociologiques abordées et nous chercherons à comprendre l’application d’une théorie à un phénomène social.
Le contexte sociohistorique
La société postindustrielle s’est développé durant la période allant de 1945 à 1980 en tenant compte d’un certain nombre de valeurs de la modernité, dont celle de la croissance économique, la prospérité et du progrès. Par contre, dans l’année 1980, cette logique de rationalité et du progrès commença à être remise en question au sein des sociétés occidentales. Lors de la crise économique causée par l’automatisation, qui provoqua à la fois des hausses de chômage et l’inflation. Cela obligea les observateurs sociaux à se questionner sur les modes de production en place. Une prise de conscience qui se nomme les effets pervers du développement industriel c’est-à-dire ses effets non voulus et contraires aux buts recherchés, a entrainé une crise des valeurs. La société occidentale sont aux prise avec des problèmes de développement tel que : la pollution, la pauvreté liée à des écarts sociaux grandissant, maladies inductielles, sous-développement de nombreuse régions du globe, épuisement des ressources, incapacité de contrôler le chômage et l’inflation. Évidemment la science et la technologie ont permis de régler ses problèmes mais cela en a entrainer d’autres. De plus, on remarque que les ressources qu’on croyait inépuisable le sont. A la suite des années 1980,il y a une remise en question concernant les dépenses engagées pour maintenir le filet de la sécurité sociale ainsi que les mesure fiscales de redistribution de la richesse qui avaient été élaboré en 1950.On remet en question le rôle de l’État providence. De plus, on peut dégager quatre facteurs qui limitent la possibilité d’intervention de l’État : l’équilibre difficile des finance publiqués, la structure de la bureaucratie, la non-rentabilité de l’appareil administratif et la déresponsabilisé des citoyens. Puisque l’État n’intervient pas, nous ne pouvons-nous empêcher d’intervenir. Ce constat peut être dégagé à l’aide de trois phénomènes : l’échec du monde néolibéral, l’accroissement de la pauvreté et d’inégalités sociales et le ralentissement économique.
Les théories sociologiques abordées
Il a Pierre Bourdieu est né en 1930, il fait des études de philosophie .Depuis 1981, il est professeur de sociologie au Collège de France. Il pratique son métier de sociologue en effectuant plusieurs recherches à partir desquelles il construit sa propre théorie dont les principaux concepts sont le capital, le champ et l'habitus. Il s’intéresse tout particulièrement à la sociologie de la culture et au lien entre domination et violence symbolique : les individus ont intériorisé leur condition sous la forme d’habitus, selon leur classe sociale d’appartenance .Bordieu a situé cette reproduction et cette distinction à l’intérieur de champs .Un champ est un système de place qui permet d’examiner la contrainte qui pèsent sur individus. Ceci est un sous-ensemble de l’espace sociale l’intérieur duquel il y a des processus de compétition pour l’approbation des profits propre à ce champs. A chaque champ, correspond tendanciellement un habitus, c'est-à-dire un héritage culturel provenant de la classe sociale ou l’on a été socialisé. La société produit donc des dispositions, des tendances
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