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Qu'est-ce que la culture?

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Par   •  30 Octobre 2015  •  Dissertation  •  586 Mots (3 Pages)  •  780 Vues

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Samuel Forest

Résumé du texte

 « Qu’est-ce que la culture?»

Présenté à Daphnée Poirier

IDENTITÉ ET SOCIÉTÉ : CULTURE ET CONTEXTE SOCIAL

387-003-ST

Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu

18 septembre 2015

Le sens de ce mot est très large et ce ne sont pas toutes ses significations qui intéressent les sociologues. En effet, le mot culture peut être utilisé lorsqu’on parle des connaissances générales de quelqu’un ou, encore, de la façon que nos sociétés ont évolué. Dans ce texte, la culture est expliquée dans son sens le plus large, mais divisée en quelques grandes branches, qui sont plus ou moins liées.

La culture individuelle est la culture propre à chaque individu.  Chaque personne peut l’accroître en apprenant, peu importe la  façon, par la lecture, en écrivant et en faisant des calculs. Elle permet aux gens de se démarquer des autres. Elle n’arrête jamais de grandir, car on apprend toute notre vie.  

La culture collective, quant à elle, est tout ce qu’apprend une personne grâce aux personnes et aux phénomènes qui l’entourent. La culture première est ce qu’un enfant acquiert lorsqu’il est avec sa famille. Tandis que la culture secondaire est l’enseignement qu’il reçoit en allant à l’école.  Celle-ci se subdivise en trois autres branches soit la culture élitiste, de masse et populaire. La culture élitiste est tout ce qui touche les beaux-arts, les grands orchestres, l’opéra, etc. La culture de masse est une des plus à porter de mains. Le cinéma, ainsi que les spectacles d’humours se situent dans cette branche. Les fêtes de rue et les festivals sont des exemples de culture populaire. Le deuxième type énoncé fait un peu le lien entre les deux autres sous-formes. De nos jours les trois types se mélangent très bien, ce qui n’était pas le cas il y a quelques décennies. Les Belles-sœurs de Michel Tremblay en est un très bel exemple. Cette pièce qui paraissait assez faible en contenu, pour les gens faisant partis de l’élite, est maintenant jouée en plusieurs langues et pays.

Certains groupes ne trouvent pas leur place à l’intérieur de ceux-ci. On parle ici de sous-culture. Une famille d’immigrés vivant au Québec en est un exemple. C’est une culture différente, à celle déjà en place dans la société, qui est tolérée. Mais il n’y a pas seulement les différences ethniques, les différents groupes d’âge font partis de la sous-culture (ex. personnes âgées et jeunes dans la vingtaine). Leur culture n’est pas en conflit avec la culture collective, mais ses habitudes sont distinctes. Ils n’ont pas le même comportement et peuvent utiliser un jargon propre à leur culture.

Lorsqu’un groupe est contre les valeurs véhiculées par la culture collective, on dit qu’il fait parti de la contre-culture. La culture dominante tente, toutefois, «d’éliminer» ces groupes différents, car elle essaye de se hisser au-dessus de cette dominance. Les mouvements hippies dans les années 1970 faisaient partis de cette contre-culture. Toutefois, certains mouvements sont récupérés par la culture collective, par exemple les tatous, ils sont beaucoup moins associés à la criminalité.  Fernand Dumont, un sociologue québécois, la considère plus comme une «culture parallèle». Elle crée de nouveaux mouvements, qui, un jour, remplaceront peut-être ceux en place. Elle évolue constamment et n’est pas quelque chose qu’il faut à tout prix éliminer.

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