Expansion De Quito Et Buenos Aires

Si à Quito on voit une confrontation directe entre ville et

contraintes naturelles, pour BUENOS AIRESle contexte est

beaucoup plus favorable. Elle se trouve sur le côté sud du Río

de la Plata et est entourée par la Pampa, une plaine énorme.

Si donc la ville ne se peut évidemment pas étendre vers le

nord, elle n’aurait à priori pas d’autres contraintes dans

toutes les autres directions. Et effectivement on remarque

comment la partie historique s’est initialement étendue assez

régulièrement d’une façon radiale. Avec l’arrivé de lignesde

chemin de fer et des grandes autoroutes on a introduit un

nouveaux facteur qui a fortement influencé le

développement successif de la zone urbanisée : ces

importantes contraintes artificielles représentent par fois des

coupures dedans la ville, mais surtout ils sont des catalyseurs.

Autour des importants axes des transports l’urbanisation

poursuit plus rapidement. Ils cassent donc l’expansion

régulière pour générer des villes satellites qui se fusionnent

plus tard avec la partie principale en générant des espèces des

tentacules qui se prolongent dans la campagne.

Fondé sur la mer en proximité du lieu où on construira le

canal du même nom, la ville de PANAMA, enserrée à l’est par

la mer et à l’ouest par la bande de 16 kilomètres de largeur

entourant le canal et administrée par les État Unies

d’Amérique, n’a pas eu d’autre possibilité que de s’étaler progressivement et avec peu de

planification vers le nord, en suivant la côte de l’Océan Pacifique. Le résultat est donc une ville

typiquement costière, qui est entièrement tournée ver la mer.Cette tendance est si forte,

qu’aujourd’hui on assiste à une prolifération des

gratte-ciels qui poussent l’un après l’autre la

longue de la côte. La contrainte représentée par la

bande des États Unies a donc empêché une

extension uniforme de la ville, mais elle a aussi

permis de préserver une partie des forêts qu’il y

avait autour de Panama et qui ont été pour la

partie restante presque complétement abattus

par les plus pauvres populations. Avec le retour à

l’administration

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