Des milliards de miroirs

J’ai lu la BD Des milliards de miroirs de Robin Cousin et je l’ai confrontée aux théories de l’effondrement.

Le réchauffement climatique a anéanti la plupart des espèces animales alors les humains veulent trouver le plus rapidement possible une nouvelle planète pour pouvoir les accueillir et leur fournir des ressources essentielles.

Sur Terre ils ont essayé de garder en vie les dernières espèces dans un zoo artificiel, sans succès.

L’humain cherche toujours plus de solutions face à la dégradation forte et grandissante des ressources sans se rendre compte que c’est bien lui qui détruit la planète peu à peu.

À l’Agence Spatiale Européenne, les efforts des chercheurs se concentrent sur la détection des exoplanètes, dans l’espoir que l’une d’entre elles puisse sauver la Terre. Car notre planète est en bout de course, tous les savants s’accordent là-dessus. La science ne parvient pas à apporter de solution à la surconsommation des ressources terrestres, les recherches s’orientent donc vers l’Univers, qui offre -hypothétiquement – des ressources à exploiter et peut-être même une planète assez accueillante pour reloger tout ou partie de l’humanité.

C’est alors qu’une chercheuse découvre des structures qui semblent indiquer la présence d’une civilisation extraterrestre. Certains y voient une chance inespérée, d’autres une menace. Pour les membres de la secte des Céphéens, c’est certain, il s’agit de divinités dont ils rêvent depuis des siècles.

Cette BD pré-apocalyptique intitulée Mille milliards de miroirs signée par le toulousain Robin Cousin est donc liée aux théories de l’effondrement.

Pablo Servigne est un auteur qui s’intéresse aussi au sujet de la fin du monde, aux théories de l’effondrement ou encore à la transition écologique. Il a écrit « Pourquoi tout peut s’effondrer » ou encore « Une autre fin du monde est possible ».

Le livre « Pourquoi tout peut s’effondrer » répond aux questions relatives à l’effondrement de la civilisation, non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Que faut-il penser de ces sombres prédictions et pourquoi est-il devenu si difficile d’éviter un tel scénario ? Il dit aussi que d’après les prédictions la fin de la civilisation industrielle serait envisagée depuis plus de deux siècles.

Dans le livre « Une autre fin du monde est possible » Pablo Servigne dit que la situation critique dans laquelle se trouve la planète n’est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d’autres s’amorcent, cela annonce la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est compliqué : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des modifications du climat, soit, pour éviter cela, nous prenons un virage si serré qu’il déclencherait la propre fin du monde industriel car il faudrait alors arrêter toute activité polluante.

Qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d’un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivreces effondrements ?

Les auteurs montrent

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