Société Et Existentialisme
Compte Rendu : Société Et Existentialisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar JAJAKIA • 6 Janvier 2013 • 540 Mots (3 Pages) • 955 Vues
l'existentialisme en philosophie est quelque chose de très précis qui s'énonce comme le fait Sartre "l'existence précède l'essence", l'homme n'est pas d'abord une définition dont il fait acte mais ce sont ses actes qui créent sa définition qui est alors mouvante, en tant que conscience puisque la conscience n'est rien que "le dehors d'elle-même"
On peut désigner par existentialiste toute question "existentielle" qui place l'homme, son devenir et ses origines au centre des réflexions (par exemple la mort...)e ne comprend point la conception de sartre qu'il appelle: existentialisme! Je m'excuse mais ce-ci m'apparait illogique ! si c'est vrai c'est l'homme qui se fait ! maitre de son destin! Donc Dieu n'existe pas selon lui ! la verite la plus clair qui invalide cette conception: c'est la mort. Par pitie! ne me dites pas que l'homme decide sa mort aussi ! On aurait du alors vivre pour l'etermnte ! Je crois que Sartre soit a oublie la mort en exposant son principe soit fait semblant de l'avoir oublie soit ne l'a pas compris et essaie d'y echappe! la notion de la mort a elle seule deja en mes yeux invalide cet existentialisme !
Dans sa conception athée de l’existentialisme (qu'il partage avec Heidegger), dans l'Existentialisme est un humanisme Sartre souligne qu’il y a une universalité de condition puisque chaque homme, quelle que soit son inscription sociale et historique, connaît la nécessité « d'être au monde », d’y être au milieu des hommes, et d’y être mortel…
Les idées principales de l'existentialisme athée sont les suivantes :
- L’homme est ce qu’il fait : Dieu n’existe pas donc il y a au moins un être chez qui l’existence précède l’essence, l’homme. L’homme n’est d’abord rien, ensuite, il sera tel qu’il se sera fait. L’homme est tel qu’il se conçoit et tel qu’il se veut, c’est la subjectivité. Une plus grande dignité est accordée à l’homme.
Chacun, nous existons d'abord et ne sommes définissables qu’après, par nos actes. Cette angoissante condition Sartre l'appelle le « délaissement »
- L’homme est un projet : Il sera ce qu’il aura projeté d’être, mais ce n’est pas une décision consciente.
- L’homme est pleinement responsable :
Quand l’homme se choisit, il choisit tous les hommes. Chaque acte que nous faisons pour créer l’homme que nous voulons être crée une image de l’homme tel que nous estimons qu’il doit être.
- L’homme est angoissé : Quand il prend conscience qu’en se choisissant lui-même, il choisit l’humanité, sentiment de sa totale et profonde responsabilité. On devrait toujours se demander : « Et si tout le monde faisait comme ça ? ».
Et donc, ton objection sur la mort n'a pas vraiment de lien avec l'Existentialisme. Et les philosophes existentialistes n'ont pas "oublié la mort" non.
C'est l'absence de Dieu qui semble te choquer, si c'est bien ça, ne t'en prends pas à l'Existentialisme, mais à tout ce qui écarte l'existence de Dieu, et ça, c'est autre problème.
PS : il y a d'ailleurs,
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