Évaluation post-situationnelle de l’activité éducative spécialisée

Évaluation post-situationnelle de l’activité éducative spécialisée

Consignes

Pour chacune des composantes : faites ressortir ce qui en constituait une force. Ne vous limitez pas à dire que «ça bien fonctionné» mais expliquez les raisons qui font que ça a bien fonctionné. De la même façon, expliquez ce qui n’a pas fonctionné et pourquoi. Identifiez ce qu’il aurait fallu modifier pour obtenir un meilleur résultat.

Y a-t-il des éléments que vous n’aviez pas prévus et qui se sont imposés à vous en vivant votre activité? Quelles sont les modifications ou les recommandations que vous apporteriez.

1. Les sujets La réalisation de votre activité apporte-t-elle un éclairage nouveau, une plus grande connaissance ou confirme-t-elle votre connaissance des sujets? Précisez s’il y a lieu les aspects nouveaux mis en lumière. L’évaluation des capacités des sujets était-elle adéquate?

2. Les objectifs

Faites un retour systématique sur les

objectifs de l’activité. Précisez si les

objectifs ont été atteints.

Oui ou non et justifiez : Étaient-ils

réalistes, mesurables, observables?

Étaient-ils en lien avec les besoins de

votre client?

Le niveau de difficulté était-il

approprié? L’objectif était de sensibiliser et informer la clientèle sur la manière de réduire les conséquences de la consommation d’ecstasy. Cet objectif a été atteint puisque grâce à notre jeu de «vrai ou faux», les étudiants ont pu retenir d’avantage l’information. Toutefois, notre objectif n’était ni mesurable, ni observable. Le niveau de difficulté était approprié puisque l’objectif convenait à leur tranche d’âge et leur niveau cognitif.

3. Le programme

Était-il utile pour réaliser les objectifs?

Était-il assez détaillé pour permettre à

l’animateur de maîtriser son animation?

Est-ce que l’horaire était adéquat? Y a

t-il eu des retards ou des longueurs

entre les étapes?

Quelles sont les difficultés

rencontrées? Aviez-vous un plan B?

Avez-vous dû vous en servir? En général, le programme était adéquat. Toutefois, lors des « vrai ou faux », on aurait du mieux préparer la partie avec la piata parce que lorsque celle-ci fut ouverte, l’attention n’était plus présente. Aussi, les « vrai ou faux » était accompagnés de numéros avec lesquelles ont pouvait expliquer la réponse. Toutefois, les numéros était parfois mêlés pour une raison inconnue et non avons du nous ajuster à ce niveau en lisant les questions sur le Powerpoint d’abord à la place de nommer les numéros.

4. Les moyens de mise en relation Critiquez en les décrivant : matériel didactique, jeux, interventions, modalités de travail utilisées (groupe, sous-groupe, individuel), pertinence des outils et matériel utilisés, Est-ce que mon amorce ou mon activité brise-glace a suscité l’intérêt et favorisé l’apprentissage? L’activité brise-glace a été efficace afin d’introduire notre sujet. C’était une charade dans laquelle les étudiants devaient deviner le sujet de la présentation. Ainsi, cela les amenaient à réfléchir à ce qu’ils connaissaient sur la matière présentée. Le Powerpoint fut aussi très utile afin d’imager l’activité des « vrai ou faux ». À l’aide des diapositives présentées, les élèves ont pu mieux retenir les justifications des réponses. Toutefois, on aurait pu améliorer notre carton de l’ordre du jour et de la charade en amenant de la gommette pour la coller au tableau afin que les étudiants puissent s’y référer tout au long de la présentation. Aussi, les questions à « vrai ou faux » que nous avons distribuées aux élèves auraient pu être mieux identifiés à leurs numéros pour ainsi facilité les liens avec les Powerpoint et les réponses.

5. Le temps

Le vécu temporel de votre activité

concorde-t-il avec ce que vous aviez

prévu?

Pertinence de la durée, des phases du

déroulement, moment choisi à l’horaire

pour vivre l’activité, perception des

sujets (perte d’attention, agitation vs

intérêt soutenu et participation active

toute la durée de l’activité)

Le vécu temporel a très bien concordé avec ce que l’on avait prévu. Nous sommes arrivées dans notre temps. Aussi, nous voulions que les « vrai ou faux » soit une partie intégrante

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