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Mémoire Guerre Algérie

Analyse sectorielle : Mémoire Guerre Algérie. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  14 Décembre 2014  •  Analyse sectorielle  •  709 Mots (3 Pages)  •  739 Vues

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La Seconde guerre mondiale a renforcé le nationalisme des peuples colonisés et affaibli les puissances coloniales européennes. La France est confrontée à la radicalisation du nationalisme algérien et refuse toute idée d’indépendance . La violence de la guerre qui s’engage en 1954 ainsi que  sa durée jusqu’en 1962 montrent les difficultés des gouvernements français successifs à régler la question. Ainsi on peut se demander comment les individus ont – ils agit pour dévoilé les mémoires

dans un premier temps , je parlerai des memoires fluctuante du conflit algérien en France, pour arriver sur la guerre des mémoires.

Près de 1,5 millions de Français sont mobilisés entre 1954 1962 lors d'un conflit qui touche également le territoire français. A partir de 1961, m'action clandestine et violente des partisans de l’Algérie française s'organise dans le cadre de l'organisation armée secrète (OAS)

Les responsables veux en finir avec la guerre, tourner la page du conflit. Après les accords d'Evian en 1962 de loi d'amnisties en 1962, 1964 et 1968, le s principaux responsables veulent

Dans les années 1970-1980, les archives d’états restent inaccessible. La censure est alors forte. Le souvenir de la guerre reste vivace et chaque acteurs du conflit se posent en victime et nient ses responsabilités.

Les autobiographies, les photographies et le cinéma alimentent une mémoire qui a pour but de justifier l'engagement des auteurs en faveur ou non du conflit.

L'accès aux archives n'est rendu possible qu'a partir des années 1990. De nombreux témoignages sont confirmés, notamment des témoignages d'individus ayant connus les tortures de l'armée française. Le grand public est interpellé par les demandes d’indemnisations, de réparations, les aveux militaires ou les nombreux procès.

Au fil du temps, on assiste au retour d’une mémoire de la guerre d’Algérie. La guerre est reconnue. Depuis 2003, la date du 5 décembre sert de commémoration officielle aux « morts pour la France en Algérie ». De plus, des lieux permettent de aussi de commémorer l'évènement comme le mémorial national de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie a Paris.

Lorsqu'il y a une guerre, il y a forcément des mémoires de cette dernière. Les mémoires du conflit Franco-algérien connait une mémoire éclatée du conflit. En France, et ailleurs, plusieurs groupes portent la mémoire de la guerre d'Algérie. Tout d'abord, il y a les pieds noirs, qui sont des européens vivant en Algérie au moment de l'indépendance. Les soldats Français ,qui ont étés envoyés entre 1955 et 1962. Les enfants de Harkis, qui sont les forces supplémentaires de l'armée française. On retrouve également les descendants de l'immigration algérienne et enfin les algériens eux mêmes.

Les mémoires de la guerre d'Algérie portent les traits de la souffrance. Aujourd'hui, en France, 5 à 6 millions de personnes sont concernées par la Guerre d'Algérie. Le souvenir de la guerre est souvent douloureux et lié à une mémoire d'abandon. En Algérie, la mémoire de la guerre est celle d'une guerre de libération contre l'occupant. Il n'y a pas de mémoire consensuelle de

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