Fiche de lecture Mon père en Alzeihmer
Fiche de lecture : Fiche de lecture Mon père en Alzeihmer. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mimijd • 4 Novembre 2015 • Fiche de lecture • 865 Mots (4 Pages) • 842 Vues
Fiche de lecture
Mon père en Alzheimer
De Marie-France BILLET
Mots clés :
Témoignages
Alzheimer
Maison de Retraire
Famille
Hôpital
Référence bibliographique
Marie-France BILLET est journaliste à l’Yonne républicaine.
BILLET Marie-France, Mon père en Alzheimer. (Témoignage)
Lieu de l’édition : Les Arènes, Avril 2002, 1 volume, 180 pages.
Synthèse du document
Marie a 40 ans, elle est divorcée et vit avec 7 enfants. Elle a une sœur et ses parents sont divorcés aussi. Elle tient de bonnes relations avec son père mais celui-ci sombre doucement dans la maladie d’Alzheimer. Marie raconte donc l’évolution de la maladie de son père, Monsieur Papon, où elle l’accompagne chaque jour. Cela commence quand il se perd chez lui, puis ne se sent plus capable de conduire. Un jour, son père est amené en urgences car il se plaignait de douleurs au ventre et de difficultés à uriner. C’est à partir de ce jour où Marie se bat pour la liberté et la tranquillité de son père. Il se retrouve attaché car les soignants le trouvaient violent, il avalait des comprimés qui lui donnait des hallucinations selon Isabelle, la fille de Marie qui est infirmière. Marie fit tout ce qu’elle pût pour faire sortir son père de l’hôpital, pour qu’il retourne chez lui. Mais selon les médecins, son père n’est plus indépendant pour vivre seul. Une infirmière viendra donc tous les jours à son domicile. La maladie de Mr. Papon s’aggrave, elle décida au bout de plusieurs semaines de l’emmener dans une clinique psychiatrique avant de trouver une maison de retraite. Il passa d’étage en étage, de bâtiments en bâtiments. Il perdit tous ses repères, sa maladie devint de plus en plus avancée. Jusqu’au jour où il ne reconnu plus sa propre fille (p. 61) : « Je voudrai hurler que je suis Marie, le secouer, le serrer dans mes bras. Papa c’est moi, Marie. Papa, je t’en prie. Je reste calme, je lui souris ». Marie montre du courage face à son père, elle ne pleure pas devant lui car elle considère que c’est lui qui est le plus à plaindre. Elle rassemble toute la famille pour encourager son père mais voit la dignité et la liberté de celui-ci s’affaiblit de jour en jour. 3 aides soignants pour le laver, il est parfois attaché ou enfermé dans sa chambre, il était mal nourr,i les draps et les pantalons sont souillés et peu changés. (p. 69) « Les aides soignantes pensent qu’un pantalon de jogging sans braguette est plus vite baissé. Je pense qu’il ne saura pas faire. Mais pour elle, ce seraient plus pratique et elles arriveraient à temps […]. Un nouveau pas dans la perte d’identité. Mon père en jogging. » Le jour où le directeur de la maison de retraite lui proposa une chambre, Marie
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