Synthèse culture générale LES GENERATIONS

SYNTHESE CULTURE  GENERALE

Dans ces documents la notion omnisciente est celle des relations intergénérationnelles. En effet chaque document reflète cette idée de génération qu’elle soit sociétale ou familiale. Bien que chaque document soit diffèrent nos retrouvons toujours ces liens entre eux.  

La bande dessinée de Claire Bretécher et la peinture de Rubens partage une relation familiale. Bien que dans les deux cas il y ait conflit entre deux générations, l’un sera éternel, car il s’agit d’un père qui dévore son fils de peur d’être détrôné, l’autre sera éphémère et se résoudra par une prise de conscience du mode de vie entre une mère et sa fille.

Nous pouvons rapprocher la peinture à la sculpture d’un noble romain portant les effigies de ses ancêtres fièrement. En effet si la relation familiale est une fois de plus présente, leurs point commun est l’antiquité. Chaque œuvre est très ancienne, l’une du 17e siècle, l’autre de l’an 15. Cependant l’opposition est qu’il n’y ait aucun conflit familial dans la sculpture. Ce qui n’est pas le cas de la peinture

Mais il nous est possible de voir la sculpture avec un autre regard que celui des liens familiaux. Grace à ses ancêtres, ce noble romain pote la toge, synonyme à l’époque de citoyenneté. Intervient alors la notion sociétale. Une notion que l’on retrouve dans la caricature de Plantu, ou il est question que la jeunesse porte un mauvais regard sur le mode de vie des retraités. Il y a alors une fois de plus conflit entre deux générations, mais cette caricature semble vouloir nous faire comprendre que les retraités sont victimes de préjugés. Les personnes à la retraite sont souvent représentées, dans nos sociétés, par un stéréotype caricatural, la figure du senior aisé de 60-70 ans, présenté comme égoïste, ne vivant que pour ses loisirs. Ce stéréotype est inquiétant car il est accusateur envers un groupe d’âge. Cela ressemble à une bouc-émissarisation d’un groupe de personnes ayant en commun un seul critère, l’âge, mais pointé comme coupable à lui seul de tous les maux de la société.

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