L'extraordinaire : les catastrophes naturelles
Analyse sectorielle : L'extraordinaire : les catastrophes naturelles. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sinsolos • 31 Mars 2017 • Analyse sectorielle • 871 Mots (4 Pages) • 3 757 Vues
Une catastrophe naturelle est un événement imprévisible lié à un phénomène non-généré par l'homme. Elle est souvent liée à un phénomène météorologique et génère beaucoup de dégâts et de victimes. Voltaire nous montre dans son extrait du Poème le désastre de Lisbonne, paru en 1756, les dégâts et victimes prisent au piège après une catastrophe naturelle. Les Hommes mettent en place des manœuvres pour venir en aide aux victimes, comme dans l'article du "Monde" parût en novembre 2015, ici une intervention des autorités locale suite à une rupture de barrage, il faut évacuer les habitants vivant sur les zones à risques. Néanmoins, d'après les articles de F.Bussy et R.E Dagorn, parus en 2008 et 2014 dans les revues "Le Portique" et "Le Monde", les Hommes auraient un impact sur les catastrophes naturelles, ce ne serait plus que la cause de la Terre. Mais comment l'Homme a-t-il pu changer le "naturel" des catastrophes? Après avoir montrer l'évolution des catastrophes naturelles en expliquant l'impact que peut avoir l'Homme sur l'environnement, nous constaterons ensuite que l'Homme met en place des agencements pour lutter contre ces catastrophes, malgré que ces dernières soient limités en nombre et donc génère de nouvelles problématiques.
Les catastrophes naturelles sont présentent sur Terre depuis la nuit des temps, probablement bien avant l'arrivée de l'Homme. Depuis toujours cette manifestation de la nature nous laisse sans voix par sa force et sa puissance. C'est un phénomène que nous ne pouvons contrer. Comme nous l'explique Voltaire dans son extrait du Poème sur le désastre de Lisbonne, les victimes d'une catastrophes naturelle sont innocentes, on se rend compte de la cruauté naturelle sur laquelle nous avons aucun pouvoir, nous pouvons souligner ici l'impuissance de l'Homme face au phénomène. Au fur et à mesure des années les catastrophes naturelles ont évoluées en catastrophes dites "modernes", suite aux actions diverses de l'Homme sur l'environnement selon F.Bussy dans "Penser nos catastrophes", l'impact de l'Homme sur l'environnement rendrait ces dernières un peu plus différentes.
On parlerait maintenant de la révolte de la nature. L'Homme engendrerai un dérèglement du fonctionnement de la nature par sa façon de vivre sur Terre. L'article de R.E Dagorn "Les catastrophes naturelles n'existent pas", nous évoque le problème du réchauffement de la température des océans qui serait la source de la multiplication statistique des ouragans à forte intensité. Ce qui nous laisse penser que le réchauffement climatique qui est causé par l'Homme augmenterai le risque de certaine catastrophes naturelles... D'autre part, toujours d'après F.Bussy dans "Penser nos catastrophes", les catastrophes apparaîtraient comme des accidents, car nous avons aujourd'hui des avancées technologiques qui pourraient non pas contrer les catastrophes naturelles, mais limiter les dégâts. L'Homme n'utiliserait donc pas à bien ces nouvelles technologies.
Pour essayer de faire face aux dégâts qu'engendre les catastrophes, les Hommes ont mis en place certain agencements sur les zones à risque. Par exemple après la rupture d'un barrage comme nous le montre l'article "Le village de Bento-Rodriguès", au Brésil en 2015, les autorités locales ont évacué des habitants vivants sur une zone à risque. Ici, des mesures sont mises en place pour minimiser les dégâts et les victimes. D'autre part, des constructions d'espace à risque sont obligatoire, notamment au Japon. D'après R.E Dagorn dans "Les catastrophes naturelles n'existent pas", pour les zones dites à risque comme pour les séismes, des bâtiments sont construit en respectant des normes antisismiques, ce qui permet de protéger la population à l'arrivée d'onde océanique. Mais encore préparer les habitants en proposant des exercices d'évacuation en cas de crise, et mettre en place un système d'alerte. Tous ces agencements sont bien pensés mais ont une certaine limite : il n'y en a pas assez.
Le manque d'agencement se fait ressentir, plus particulièrement dans les pays où le PNB est faible soit les pays en développement. Par manque de subventions ils ne peuvent mettre en place les espaces nécessaire en cas de catastrophe, ce qui fait d'eux les plus touchés par ces dernières. On pourra souligné que au cours des deux décennies sur plus de 2 millions de personnes tuées par les catastrophes naturelles, 98% d'entre elles venait d'un pays à faibles niveaux de développement. RE Dagorn nous explique qu'il faut faire attention aux "sur-catastrophes", on entend par cette expression que le manque d'espaces à risques engendrerai des dégâts que nous aurions pu éviter, mais qui sont réelles par faute de moyen...
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