Synthèse sur la catastrophe naturelle

SYNTHESE :

       Une catastrophe naturelle est un événement d'origine naturelle, subi et brutal, qui provoque des bouleversements importants pouvant engendrer de grands dégâts matériels et humains. Si les catastrophes naturelles sont provoquées par des causes météorologiques, sismiques ou autres sur lesquelles l'homme n'a pas de prise, leurs bilans dépendent fortement du facteur humain. Nous pourrons ainsi se poser la question suivante : Qu’est ce qui détermine les catastrophes naturelles ?

Les quatre documents que nous avons à notre disposition apportent une réponse nuancée à cette question. En effet, s’il paraît pour certains que les catastrophes naturelles n’existent pas, elles reflètent également le point de vue humain.

      Dans un premier temps, nous expliquerons pourquoi les catastrophes naturelles n’existent pas . Pour se faire, le premier document est un extrait d’une revue tiré de Le portique intitulé « Penser nos catastrophes » écrit par F.Bussy en 2008. Nous avons ensuite un second article tiré du livre Les Grands dossiers de Sciences humaines intitulé « les catastrophes naturelles n’existent pas » écrit par R.-E. Dagorn en décembre-janvier-février 2014. Le troisième document est un extrait du Poème sur le désastre de Lisbonne écrit par Voltaire en 1756. Enfin le quatrième article Le village de Bento-Rodriguès est une photo d’un tsunami au brésil vu dans le journal Le Monde  le 6 novembre 2015.

     F.Bussy montre que les catastrophes sont produites par la nature. Dagorn affirme lui aussi que les aléas naturels sont d’origine naturelles. Or, pour Voltaire ce sont les hommes qui provoquent ces catastrophes d’où il explique que les causes des orages ce sont les humains. De même que par rapport à la photo, les catastrophes climatique montrent qu’elles sont dues aux constructions mis en place par l’homme.

D’après Bussy, les catastrophes sont une colère divine, un déséquilibre et une puissance de la nature, il appuis aussi sur le fait que ce sont des ruptures entre un droit et un fait, une norme et sa violation. La photo nous montre tout aussi bien l’idée d’une nature puissante à cause des dégâts qu’elles engendrent. Dagorn suggère quand à lui, que les pays les plus pauvres ont le plus de chance d’être touché. Voltaire qualifie lui aussi l’idée de la pauvreté.

     De plus Bussy évoque l’idée que les catastrophes naturelles peuvent frapper tout être vivant et qu’elles apparaissent comme des drames qui se joue entre l’événement et la victime. Dagorn suggère que le fait que les société n’ont pas crée ou entretenu les espaces du risque cela provoque les effets de la catastrophe. Pour Voltaire, confirme que ces aléas sont dramatiques en évoquant les ruines. De plus, la photo montre une nature qui se venge. Par ailleurs, Bussy qualifie  les catastrophes comme des accidents. Dagorn confirme qu’il y a une multiplication des catastrophes de forte densité qui sont dû à la lente augmentation de la température ce qui provoque par la suite des incidents. D’ailleurs Voltaire, qualifie le fait que dieu a voulu se venger en employant la mort cité dans son poème avec l’idée des « femmes et des enfants entassées les uns sur les autres » car l’homme pour lui a créé ces catastrophes. Par rapport à la photo, elle confirme l’idée que les décisions des hommes sont à l’origine des catastrophes climatiques ce qui provoque par la suite des aléas d’où des accidents.

En outre, d’après Bussy les catastrophes font augmenter les consommations. D’ailleurs, Dagorn affirme que la consommations va augmenter du fait qu’il montre qu’il faut que les hommes réévalue les espaces du risque.

Dans un second temps, nous parlerons du point de vue des humains par rapport a ces aléas. De surcroît, Dagorn déclare ces catastrophes comme des dommages qui dépendent de la préparation des sociétés et donc de l’impact économique, en plus de ca il évoque que les catastrophes climatiques sismiques se produit car les sociétés n’ont pas créées et su entretenir les espaces du risque, ce qui prouve que le PNB reste faible et le risque est donc plus élevé. Ces pour l’idée précédente que Bussy affirme que les sociétés ne sont pas préparées pour ces aléas et donc que l’impact économique  refais surface. D’autre part, Voltaire examine l’idée que les pauvres n’ont pas les mêmes aides que les riches et donc cela revient sur l’idée économique mal éparpillé. La photo nous montrera alors que les dégâts du tsunami devront être « réparés » et donc puisera sur l’économie du pays. Dagorn prouve que les espaces du risque on fait que les sociétés ont construit des structures qui réduisent et éliminent les effets de la catastrophes.

       D’après Dagorn, les constructions des bâtiments respectent les normes antisismiques, et ces espaces du risques servent à protéger la population et sont efficace que lorsque qu’ils mettent en place des exercices d’évacuations. Or, Bussy évoque l’idée que les événements catastrophiques sont vécu comme une effraction. Il évoque aussi le fait que personne ne croit aux menaces des catastrophes. D’ailleurs Voltaire, affirme cette idée d’une mauvaise réflexion humaine en employant dans son poème que pendant que Lisbonne est « abimée », la ville de Paris continu a vivre comme ci de rien était ce qui montre encore une fois l’ignorance humaine. De plus, la photo du tsunami en confirme, elle prouve que ces catastrophes n’ont pas encore fait comprendre à l’homme leur erreur par rapport à leur construction et leur moyen d’évacuation. Pour finir, Bussy dégrade encore une fois l’humanité en évoquant l’idée que les hommes refusent de penser aux impacts de ces pratiques de consommer sans limites et de se déplacer sans cesse. Voltaire en fait de même en expliquant que l’homme ne s’intéresse qu’une fois que les catastrophes frappent.

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