La société de consommation
Analyse sectorielle : La société de consommation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Abby58900 • 22 Avril 2015 • Analyse sectorielle • 782 Mots (4 Pages) • 734 Vues
L’ouverture du document se fait sur une réflexion sur l’épuisement des ressources naturelles et l’état actuel de notre planète. On se rend compte que notre consommation est boulimique, maladive, nous avons de plus en plus d’équipement, à chaque pièce sa liste complète et précise, auparavant, toutes nos affaires tenait dans une voiture, maintenant, nos maisons sont de plus en plus grandes, pour stocker toujours plus. On ne se sent vivant que par ce que nous possédons, nous somme de plus en plus matérialistes, l’accumulation d’objets nous rend euphoriques, on veut donc toujours en avoir plus, pour être plus heureux. Cependant, ce n’est pas la réalité, l’accumulation ne nous rend pas plus heureux. Ce phénomène découle de la Révolution Industrielle, nous produisons plus, nous disposons de plus de biens, une théorie de la classe de loisir émerge, elle indique que notre consommation construit notre identité.
Après la guerre la société de consommation se démocratise et s’étend à tous, nous avons plus de temps, plus d’argent et les prix baissent. On veut consommer comme les autres, par mimétisme, on se compare aux autres. A cette époque, la consommation ne se fait pas par la publicité, mais par la comparaison à ses semblables (famille, amis, voisinage…). Après les années 70, les femmes travaillent de plus en plus, ce qui induit un nouveau cercle vicieux de surconsommation : Les revenus augmentent, on se compare aux classes supérieures, on côtoie la société d’abondance, on est influencés par la télévision, de plus en plus présente dans les foyers et attrayantes par ses séries telles que Dallas, Dynastie, ou les protagonistes y sont toujours plus riches. Ces habitudes nous poussent également à un phénomène nouveau : l’individualisation. Par la télévision, on voit apparaitre la réclame, c’est elle qui nous donne à présent l’envie d’acheter. Une sorte de propagande se met en place. Ceux qui ont tout doivent être exposés à la publicité pour consommer. Ce développement de la publicité s’est démarqué ces 40-50 dernières années en se servant de nos peurs pour nous pousser à l’achat, nous rassurer, nous apporter des solutions : acheter rend heureux. Les enfants sont particulièrement manipulés et exposés à la publicité, elle est influente et contrôle des pays entiers par son omniprésence.
Cette abondance nous empêche d’être rationnels, mais financièrement et écologiquement, ce n’est pas viable. Les individus ne communiquent plus, tout va de plus en plus vite, l’espace et les distances sont révolus. Le stress et le surmenage se développent, les effets sur la santé se ressentent de plus en plus.
Dans un monde si compliqué, on a besoin de revenir à quelque chose de plus simple, se laisser guider par le principe qui a toujours été instinctif chez toutes les espèces, la coopération. De nos jours, l’esprit de competition est très fort, mais nous devrions pourtant prendre soin les uns des autres, et ce, en vue d’assurer notre protection. Et c’est une chose qui ne se fait pas dans une société de consommation. Nous sommes devenus individualises. Le sentiment d’appartenance à une communauté est de moins en moins fort, la télévision encore une fois, renforce notre envie d’individualisme, on veut tout pour soi, sa voiture, sa maison… la constitution
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