Culture générale

BTS Blanc

GPME 21

BRAS Elodie

Culture Générale

Synthèse de documents

        « A toute vitesse ! », titre de l'ouvrage qui correspond en tout point à la rapidité d'innovation et d'exécution dans le monde actuel.

        En effet, l'interview de Harmut Rosa par Hubert Guillaud (internet Actu – mars 2013) « Le temps ne pas croître », les propos de Jean-Louis Servan-Schreiber par Christilla Pellé-Douël (Psychologie – 2010) « Pourquoi nous vivons à toute vitesse ? », l'article de Philippe Soullier (Capital.fr – 2016) « La rapidité d'exécution, clé de la réussite » et la photo du site internet https://media2.ledevoir.com/images_galerie/ « TGV » permettent d'en attester.

        Dans ce cas, la rapidité est-elle le moteur du modèle économique actuel ?

        Ce sujet sera développé en deux parties : La vitesse : compétence principale au travail ? Et La vitesse : synonyme de rentabilité économique ?

        La vitesse, tant célébrée, est-elle la principale compétence au travail ? Être toujours en alerte, dans l'anticipation et l'innovation, comme semble le croire Philippe Soullier, conduirai à une rentabilisation des tâches dans la frénésie de réalisation de nouveauté.

        Néanmoins, Jean-Louis Servan-Schreiber pense que « nous cherchons une rentabilisation de notre temps, des satisfactions rapides ». En effet, P. Soullier nous en donne l'exemple avec le groupe Auchan dans « La rapidité d'exécution, clé de la réussite » qui, pour « gagner en souplesse et en rapidité », n'a pas hésiter à « restructuré » son organisme de façon à le rendre plus productif et populaire. Il a fallut évoluer rapidement pour rester en concurrence sur le marché. Harmut Rosa, quand à lui, explique qu'une « société moderne est caractérisée par le fait qu'elle a besoin de la croissance, de l'accélération et l'innovation pour maintenir le statu quo » autrement dit le statut actuel. C'est ce qu'on mis en place les employés de La Redoute, encore une fois cité par P. Soullier,  pour préserver leur image de marque sans salir aucune réputations, en faisant passer leur erreur comme volontaire et en trouvant une solution dérisoire, ils ont alliés la vitesse d'exécution avec la vitesse d'innovation. Idée confortée par le texte illustrant l'image du site internet. Effectivement, il est aisé de comprendre que des techniciens ont travaillés d’arrache-pied pour trouver une technologie nouvelle qui puisse surpasser la précédente afin de battre le record de vitesse de 1990.

        Toujours dans ce texte illustrant la photo du TGV, il est possible de ressentir la frénésie qu'on put ressentir les travailleurs de rechercher une nouveauté qui, à cet instant, entrera probablement dans l'histoire. Ce qui permet d'en juger est la déclaration d'Eric Pieczak, conducteur du TGV : « On n'a pas été embêté : pas d'oiseaux et bonne météo, rien du tout par rapport à ce qu'on a eu à l'entraînement ». Harmut Rosa appui cette innovation et dit que « nous sommes bien dans la phase de l'accélération technique (la communication, les transports … mais aussi la pollution) ». Il est soutenu par  JLSS dans « Pourquoi nous vivons à toute vitesse ? » qui donne le modèle des téléphones qui restent sur le marché seulement quelques mois pour ensuite être remplacé par des nouveaux. C'est d'ailleurs ce qu'il appelle « la marché des « dernières nouveautés » ».

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