Сarrière sur la commune de Gelles

Site 1 : carrière sur la commune de Gelles

La carrière visitée est exploitée depuis un peu plus de 3 ans. Pour pouvoir l’ouvrir, une étude de la faune et de la flore a été requise. Cette ouverture pris entre 2 et 5 ans à cause des dossiers administratifs.

Elle exploite la coulée fait par le puy de Banson, cette coulée est constituée principalement de basalte (roche magmatique) et est venue recouvrir une couche de gneiss (roche métamorphique) que l’on peut apercevoir au niveau d’un affleurement.

La carrière produit entre 200 000 et 950 000 tonnes de basalte par an. Ce basalte est utilisé dans le bâtiment pour faire des couches de fondation, de béton… car il est extrêmement dur (densité de 2.8) et contient peu de silices. La couche de basalte est assez épaisse : entre 20 et 25 mètres. Ils y a différentes formes de basalte produit qui sont ensuite revendu. Leur nom dépend de leur diamètre qui se mesure en millimètre. La plus solide étant les orgues : ce sont des colonnes de pierre tellement dures à extraire que la pelleteuse utilisée d’ordinaire s’abimerait à essayer de les arracher à la paroi. Ces prismes basaltiques sont toujours perpendiculaires à la surface de refroidissement.

Site 2 : Puy de Dôme

Arrivé en haut du Puy de Dôme notre très cher professeur nous a résumé l’histoire de la formation de la chaine des puys. Elle est composée principalement de cônes mais on peut y trouver aussi des dômes et des maars. Le plateau des dômes se situe à 1000 mètres d’altitude et est composé de granite. C’est une chaine de puys qui s’est formée dans un alignement nord/sud et délimitée par la vallée d’Olby (400-500 m d’altitude) à l’ouest et la Limagne (300-400 m d’altitude) à l’est qui sont des grabens ou fossés d’effondrements. Les différents édifices volcaniques se forment à cause des différents types de lave. Une lave visqueuse entrainera la formation d’un dôme, une lave liquide et explosive produit les cônes et les maars.

Le puy de dôme s’est formé en 2 épisodes volcaniques, voir schémas.

Site 3 : le Clierzou

A l’arrêt du Clierzou nous avons défini plus précisément ce qu’était un maar. Cet édifice se forme lorsque des eaux de ruissellement entre en contact avec du magma. Une fine croute se forme au-dessus de la lave ce qui augmente considérablement la pression. Lorsque la pression est trop élevée, une explosion a lieu et forme alors un trou dans lequel les poussières dû à l’explosion vont venir tapisser les parois. Les eaux de ruissellement continuant de s’écouler dans le trou vont stagner et le remplir, ce qui va former un lac : le maar. Si l’eau forme un bassin peu profond ce sera une narse, un marécage, et si il restait de la lave cela forme un dôme.

En haut du Clierzou se trouve une carrière de trachyte. Le trachyte est une roche blanche provenant d’une lave visqueuse et explosive. Il est constitué de feldspath, d’amphiboles et de micas.

Nous avons aussi fait une comparaison avec le basalte qui lui, est une roche grise qui provient d’une lave fluide et

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