Sang et appareils circulatoires

Sujet contrôle continu Sang et appareils circulatoires

1. Les cellules sanguines anormales correspondent au clichés B car les globules rouges sont déformés.

[pic 1][pic 2]

La particularité de ces cellules sanguines est leur structure en forme de faucille (falciforme).

1. L’hémoglobine est renfermée dans les globules rouges, et celle-ci présente une forme de « disque biconcave » de couleur rouge due à la quantité importante d’hémoglobine présente dans les cellules sanguines.

Les érythrocytes des sujets malades sont trouvés sous forme de fibrilles.

L’étude de la forme indique un manque d’oxygène pouvant avoir comme répercussions, par exemple, une thrombose veineuse, une congestion vasculaire, une inflammation due à l’obstruction des petits vaisseaux sanguins et une congestion vasculaire.

1. Cette représentation graphique peut porter comme titre : Comparaison du taux d’oxygène sur la pression atmosphérique d’O2 d’un individu normal HbA et d’un individu malade HbS.

La courbe (1) correspond à celle des sujets malades porteurs de l’hémoglobine HbS car la constriction des globules rouges en fibrilles entraine un manque d’oxygène, analogue à la courbe 1 portant le plus bas taux d’oxygène.

À P50, le pourcentage d’oxygène d’un individu sain est de 77% environ, contre 69% environ pour un individu malade.

1. En comparant les deux cartes du monde faisant chacune référence à la répartition de cas de paludisme et d’hémoglobine anormale dans le monde. On observe une analogie des répartitions des cas entre ces deux maladies. Ils ont davantage présentes dans l’Afrique subsaharienne et certaines régions de la mer méditerranée

Ce tableau, représentant une étude épidémiologique conduit en Afrique équatoriale, met en avant, le pourcentage d’hétérozygote possédant un gène de l’hémoglobine anormal sur deux, dans la population, le nombre de personnes décédées du paludisme, et le nombre d’hétérozygote parmi les décès dus au paludisme.

On indique ces trois catégories car on veut montrer que les hétérozygotes, n’ayant qu’un seul des deux gènes de l’hémoglobine modifiée, sont protégés des formes graves de paludisme, puisqu’on constate que 1,25% des patients sur + /- 25% sont décédés, ce qui est minoritaire.

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