Mélange génétique et localisation de gènes chez la drosophile

Brassage génétique et localisation des gènes chez la drosophile Afin de définir les recombinaisons méiotiques ayant lieu au niveau des gamètes chez les organismes supérieurs comme la drosophile (phase diploïde dominante), on étudie les caractères phénotypiques des descendants diploïdes issus de croisements. Exemple de dihybridisme (gènes codant la couleur des yeux et la taille des ailes), on cherche à interpréter les résultats de croisements.  Premier croisement : On croise deux drosophiles homozygotes pour les deux gènes considérés : une femelle à ailes longues et aux yeux rouges et un mâle à ailes vestigiales et aux yeux pourpres. Leur descendance (F1) possède dans tous les cas des yeux rouges et des ailes longues. - Compléter le tableau traduisant les modalités de ce croisement et la F1 obtenue. P1 P2 [phénotype] ( génotypes) g amètes possibles F1 Allèle responsable des ailes longues : Vg+ Allèle responsable des ailes vestigiales : vg  Croisement test Allèle responsable des yeux rouges : Pr+ Allèle responsable des yeux pourpre : pr : Un croisement test est réalisé avec une drosophile issue de la F1. - Ecrire les modalités du croisement test (construire un tableau sur le modèle précédent) puis construire un échiquier de croisement afin de définir le génotype des individus issus du croisement (F2). On obtient les résultats suivants : 43,5% de drosophiles à ailes longues et yeux rouges / 43,5% de drosophiles à ailes vestigiales et yeux pourpres / 6,5% de drosophiles à ailes vestigiales et yeux rouges / 6,5% à ailes longues et yeux pourpres. - - Comment interpréter ces résultats ? Faire un schéma bilan au niveau chromosomique qui explique le brassage des allèles lors de la méiose afin de rendre compte des nouveaux phénotypes observés à l’issu du croisement test. Brassage génétique et localisation des gènes chez la drosophile Afin de définir les recombinaisons méiotiques ayant lieu au niveau des gamètes chez les organismes supérieurs comme la drosophile (phase diploïde dominante), on étudie les caractères phénotypiques des descendants diploïdes issus de croisements. Exemple de dihybridisme (gènes codant la couleur des yeux et la taille des ailes), on cherche à interpréter les résultats de croisements.  Premier croisement : On croise deux drosophiles homozygotes pour les deux gènes considérés : une femelle à ailes longues et aux yeux rouges et un mâle à ailes vestigiales et aux yeux pourpres. Leur descendance (F1) possède dans tous les cas des yeux rouges et des ailes longues. - Compléter le tableau traduisant les modalités de ce croisement et la F1 obtenue. P1 P2 [phénotype] ( génotypes) g amètes possibles F1 Allèle responsable des ailes longues : Vg+ Allèle responsable des ailes vestigiales : vg  Croisement test Allèle responsable des yeux rouges : Pr+ Allèle responsable des yeux pourpre : pr : Un croisement test est réalisé avec un individu « DR » et une drosophile issue de la F1. - Ecrire les modalités du croisement test (construire un tableau sur le modèle précédent) puis construire un échiquier de croisement afin de définir le génotype des individus issus du croisement (F2). On obtient les résultats suivants : 43,5% de drosophiles à ailes longues et yeux rouges / 43,5% de drosophiles à ailes vestigiales et yeux pourpres / 6,5% de drosophiles à ailes vestigiales et yeux rouges / 6,5% à ailes longues

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