La véritable histoire de louis pasteur

La véritable histoire de louis pasteur

Pasteur aurait découvert par hasard la piste des vaccins et la première maladie sur la quelle il travail est le choléra de la poule. En été 1879 il est partit en vacance dans sa maison familiales d’Arbois. Donc il passe ses vacances en famille et à son retour à son laboratoire il va reprendre ses expériences. Mais pendant se temps ses collaborateurs ont complètement oubliés de s’en occuper pendant deux ou trois semaines. Pasteur à voulu revivifier le germe donc il les à réinoculés à des poules mais en inoculant des poules avec ses germes vieillit les poules ne meurt pas. Mais comme il veut récupérer des germes jeunes il va refaire la même chose mais cette fois avec une culture jeune et neuve sur les mêmes poules que précédemment et les poules ne meurent pas non plus. 

En voulant rendre hommage à Jenner il a appelé cela le vaccin (pour germe affaibli).

Pasteur comprend que la diminution de la virulence dépend de l’exposition à l’oxygène. 

Selon la légende de pasteur le point de départ de tous ses travaux de vaccination est le choléra de la poule. Ce qui fait une analogie avec la pénicilline de Flemming (= serendipity).

En réalité pasteur à trouvé ce qu’il cherchait et le hasard ne les a pas aidé.

Il revient de vacances en 1879 mais il ne reprend pas ses recherches sur le choléra.

Il a recommencé ses recherches sur la maladie du charbon qui est l’Anthrax car cette maladie est plus grave que le choléra des poules il s’agit d’une antropozoonose (maladie qui peut se transmettre de l’animal à l’Homme). Cette maladie du charbon décime complètement le cheptel donc les poules, les moutons, les vaches donc l’agriculture française se qui est très problématique pour l’économie du pays.

Pasteur est conscient des procédés « d’immunisation » excitants après une infection par la maladie.

Entre pasteur et Jenner il y a eu plusieurs médecins qui ont tentés d’immuniser la population contre des maladies.

Avec notamment l’inoculation de la matière, chancres syphilitiques (ulcération de la peau), de nodules lépreux, d’écoulement hémorragiques, de bubons pesteux ou de sang paludéen.

Pasteur à concentré ses études sur ces deux maladies qui étaient expérimentables sur l’animale. De plus ses deux maladies étaient connues et il n’avait plus qu’à les étudier. A son retour de vacance il va reprendre ses recherches sur le charbon.  

Il bloque à un moment et il va voir Emile roux qui est un de ces collaborateurs.  

Emile roux poursuivait les recherches de Pasteur sur le choléra des poules. C’est lui qui à inoculé les germes dans la poule. Pasteur à écrit d’Arbois à Roux pour qu’il cultive les germes du choléra. Roux profite de l’absence de Pasteur pour expérimenter l’exposition de ces germes à l’air libre.

Avec le sang des poules mortes il va les réensemencer dans un flacon de bouillon et avec ce bouillon il va inoculer une nouvelle série de poules. Pasteur remarque par la suite une diminution de la virulence de ce germe. Néanmoins ils ne vont pas obtenir les résultats voulus et pasteur va stopper ses recherches.

Il revient ensuite de vacances et l’espoir va renaitre car il va y avoir deux choses dont il va se rendre compte :

• La 1ère inoculation doit rendre la poule malade
• Il doit s’écouler 48 heures entre la vaccination et l’inoculation virulente (sinon les poules vont encore mourir)

Il refait des expériences sur les poules et BINGO ‼ ‼ Les poules survivent. Pasteur est convaincu du procédé d’immunisation artificielle mais néanmoins il manque de preuves.

Le 9 février 1880 il va informer l’académie des sciences de sa découverte. Sauf que lorsque pasteur dit sa à l’académie il va simplifier les résultats obtenus il ne va pas parler de la série de poules mortes.

L’expérience cruciale de la légende pasteurienne est donc fausse et il a eu un long tâtonnement qui à été transformé en éclair de génie.

Sa déclaration à été vivement critiquée. Puis il à été provoqué en duel de la part de Jules Guérin qui est le doyen de l’Académie de Médecine. 

La vaccination contre le choléra des poules à un impact économique moyen, donc il va faire la même chose avec la souche de charbon qui aura un meilleur impact économique. Il va exposer ses cultures à l’air. Mais là il va y avoir un problème car il va se heurter à la sporulation de la bactérie. 

Par tâtonnement expérimentaux il va y avoir une incubation à 42/ 43°C et il y a eu une absence de sporulation. Puis ensuite il va de nouveau soumettre ses germes à l’exposition de l’air afin de les affaiblir.

Le 28 février 1881 il va annoncer sa méthode par une note à l’académie des sciences.

Il va y avoir une généralisation hâtive de son procédé, mais les résultats sont incertains et ils ne sont pas assez fiables pour une application systématique.

Le défi de Pouilly le fort

Hippolyte rossignol est un vétérinaire, au printemps 1881 il va lui demander de faire une démonstration publique de l’efficacité du vaccin anti-charbonneux.

Pasteur veut prouver la possibilité de cette vaccination. Il veut prouver la supériorité de son procédé à Henry toussaint (qui est un vétérinaire toulousain) qui travaillait aussi sur le vaccin anti-charbonneux mais d’une manière différente. Il a vacciné des moutons et des chiens contre le charbon avec du sang infecté et qui à été chauffé 10 min à 55°C.

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