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La technique d’hybridation in situ

Commentaire de texte : La technique d’hybridation in situ. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  8 Mai 2015  •  Commentaire de texte  •  391 Mots (2 Pages)  •  1 123 Vues

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Première technique utilisée: la technique d’hybridation in situ (v. schéma). Cette technique permet de déterminer où un gène est exprimé (remarque importante: détection des cellules qui fabriquent l'ARN; la sonde ne reconnaît pas l'ADN endogène; la séquence de la sonde est complémentaire de la cible à reconnaître). La transcription d’un ARN ne signifie pas automatiquement que la protéine codée par ce gène est présente et/ou en quelle quantité. Pour savoir si la protéine est présente, il faudra utiliser des anticorps (poly- ou monoclonaux-immunohistochimie). C’est une étape importante dans la compréhension de résultats (imaginez par exemple qu'on étudie l’expression d’un facteur secrété. L’hybridation in situ indiquera les cellules qui font la transcription de l’ARN, mais n’indiquera pas si l’ARN est traduit en protéine, si cette protéine est secrétée, et à quelle distance des cellules productrices). La facilité avec laquelle les hybridations in situs sont faites, en comparaison de la difficulté à fabriquer des anticorps entraîne que de nombreux expérimentateurs ne prennent pas la peine d'étudier l’aspect protéique de leur problème.

Les protéines elles-mêmes peuvent être modifiées après la traduction (phosphorylation, glycosilation...), modification post-traductionnelles qui peuvent aussi influencer l’activité des moléculesPremière technique utilisée: la technique d’hybridation in situ (v. schéma). Cette technique permet de déterminer où un gène est exprimé (remarque importante: détection des cellules qui fabriquent l'ARN; la sonde ne reconnaît pas l'ADN endogène; la séquence de la sonde est complémentaire de la cible à reconnaître). La transcription d’un ARN ne signifie pas automatiquement que la protéine codée par ce gène est présente et/ou en quelle quantité. Pour savoir si la protéine est présente, il faudra utiliser des anticorps (poly- ou monoclonaux-immunohistochimie). C’est une étape importante dans la compréhension de résultats (imaginez par exemple qu'on étudie l’expression d’un facteur secrété. L’hybridation in situ indiquera les cellules qui font la transcription de l’ARN, mais n’indiquera pas si l’ARN est traduit en protéine, si cette protéine est secrétée, et à quelle distance des cellules productrices). La facilité avec laquelle les hybridations in situs sont faites, en comparaison de la difficulté à fabriquer des anticorps entraîne que de nombreux expérimentateurs ne prennent pas la peine d'étudier l’aspect protéique de leur problème.

Les protéines elles-mêmes peuvent être modifiées après la traduction (phosphorylation, glycosilation...), modification post-traductionnelles qui peuvent aussi influencer l’activité des molécules

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