La fécondation

UE 2 : la cellule et les tissus

09 septembre 2011

LA FÉCONDATION

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Déf : Ens des événemts qui aboutissent à la rencontre puis à l’union d’un gamète mâle (spz) et femelle (ovocyte II) pr aboutir à une cellule (zygote).La fécondation dépend de :

• la période de fécondabilité
• transit des spz ds les voies génitales féminines.

1. La période de fécondabilité :

1. Définition :

Déf : correspond à la période durant laquelle un rapport sexuel peut être suivi d’une grossesse. Cette période dépend de la durée de survie des 2 gamètes, ceci détermine la longueur de la période et elle dépend de la date de l’ovulation, càd de la place de l’ovulation ds le cycle.

1. Durée de survie des gamètes :

La durée de survie des spz est au moins de 3- 4 j au niveau de l’utérus et de la trompe càd 1 fois qu’ils ont pénétrés la glaire cervicale. Ds le vagin, les spz ne survivent pas plus que qqes 10aines de min.

La durée de survie de l’ovocyte II n’excède pas 24h.

Compte tenu de ces paramètres, on en déduit que la période de fécondabilité est d’environ 5j sur 1 cycle de 28 j.

1. Le transit des spz ds les voies génitales féminines :

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1. Au niveau du vagin

Les spz déposés ds le fond du vagin vt devoir traverser la glaire cerviale ou mucus cervical puis l’utérus et la trompe avant de rejoindre l’ovocyte. Au cours de leur ascension vers les trompes, les spz rencontrent un certain nbre de barrières physiologiques les unes entravant leur progration, les autres la facilitant.

Ceci permet de réguler le nbre de spz présents ds la trompe utérine. Il faut que sur les plusieurs millions ds spz déposés ds le vagn, une 100 parviennent au lieu de la fécondation.

 Ds les voies génitales féminines , les spz vt poursuivre leur maturation commencés ds l’épididyme.  La maturation des spz correspond à une série de modif qui nécessitent un séjour de plusieurs h ds le tractus génital féminin. Ces modif regroupent la capacitation, l’hypermobilité et la rct acrosomique des spz. Ces modif vt rendre les spz aptes à la fécondation.

Les spz déposés ds le fond du vagin st de qualité inégale, en effet ds un éjaculat se trouve des spz d’âges différents . Ceux qui se trouvent être d’âge optimal st en minorité, parmi eux il y a des spz ac des anomalies morphologiques et physiologiques.

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1. La traversée de la glaire cervicale

La glaire cervicale ou mucus cervical est une dépresion de la paroi du canal cervical. Cette glaire obstrue en permanence le canal cervical. Elle corespond à un gel visqueux riche en eau dt la composition, les propriétés et l’abondance varient en fct du cycle menstruel.  

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Ainsi cette glaire est sécrétée en faible quantité au début ss l’influence de l’oestradiol sa pdt augmente pr atteindre un maximum en période péri-ovulatoire. Puis sa production diminue et redevient faible.

En période péri-ovulatoire, la glaire est hydratée au maximum. Elle est limpide et fluide, son pH est alcalin. En microscopie électronique à balayage, il est possible de voir que le réseau de filamts de glycoprotéines forment des mailles larges. En dehors de la période péri ovulatoire, le mucus est opaque, les mailles du réseau glycoprotéique st resserrées.

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La traversée du mucus cervical est la 1ère barrière physiologique que doivent franchir les spz déposés au fond du vagin. Ce milieu est particulièremt favorable aux spz pdt la période péri ovulatoire. Les spz peuvent franchir la glaire cervicale en 30 mn.

Cette traversée va leur permettre :

• D’ éviter de rester ds la vagin où l’acidité du milieu les détruit rapidemt
• De se débarasser du liquide séminal
• De sélectionner les spz mobiles.

L’élimination du liquide séminal est un préalable indispensable aux phénomènes de capacitaion et de réaction acrosomique. Il faut aussi savoir que des spz st mis en réserve ds les cryptes du canal cervical. Ce stockage de spz permet une fécondation même plusieurs j après un rapport sexuel.

1. La traversée de l’utérus

Au cours de la traversée de l’utérus il y a encore une perte importante de spz. Les contractions utéines permettent de sélectionner les spz les + résistants.

1. La traversée de la trompe

Les spz arrivent au nv de la trompe essentiellemt grâce à leur mobilité. Leur trajet est cpdt influencé par le flux liquidien qui s’écoule lentemt des trompes vers l’utérus. Des spz s’orientent à contre courant et seuls les + vaillants peuvent passer.

L’écoulemt du liquide est favorisé par les battemts des cils des cellules cilliées de l’épithélium tubaire et par les contractions péristaltiques des muscles lisses. Seuls qqes 10aines de spz atteignent simultanèmt le site de la fécondation.

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