La Préservation De La Couche D'ozone
Analyse sectorielle : La Préservation De La Couche D'ozone. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nanushik555 • 8 Avril 2015 • Analyse sectorielle • 440 Mots (2 Pages) • 744 Vues
1. Les documents mettent en évidence plusieurs biens publics mondiaux. Par exemple l’air, la couche d’ozone, l’environnement ou encore le climat peuvent être considéré comme un bien public mondial, parce qu’ils remplissent trois conditions. Prenons l’exemple sur l’air. Tout d’abord il rempli la condition de la non rivalité, puis de la non-exclusivité et enfin le caractère universel. Dans le 1er cas, le fait qu’un individu profite de l’air n’empêche pas un autre de le faire aussi. Aussi, on ne peut pas empêcher les individus de respirer cela présente donc le caractère non exclusif. En ce qui concerne le caractère universel, l’air pur est un bien qui existe de partout dans le monde mais aucun pays par exemple ne peut pas produire cet air pur.
2. Afin de gérer un bien public il est nécessaire une intervention de l’Etat. La non rivalité et la non exclusivité sont des défaillances de marché. Dans le document 3 nous avons une régulation internationale. Cela est visible à travers de la signature du protocole de Montréal par 46 pays en 1970 qui présente une action de régulation au niveau international afin de protéger la couche d’ozone. Aujourd’hui tous les pays, saut quatre ont signé ce protocole.
Les Etats ont donc fixé un objectif global et ils sont dans la liberté pour atteindre cet objectif. Ce système leurs permets d’avoir une certaine flexibilité. Le protocole de Montréal s’appuie donc sur la création de quotas.
Pour conclure, ce protocole prévoit également des modalités de financement, afin aider l’ensemble des pays à éliminer les effets négatives sur la couche d’ozone. Un fond multilatéral avait été crée notamment pour aider les pays en développement.
3. Le protocole de Montréal n’est pas obligatoire, ce qui veut dire que cela se fait sur le volontariat de chaque pays. Il n’y a pas de problème particulier au niveau de la coordination. Tout de même, le souci qui est présent, est la non ratification des Etats Unis pour la signature du protocole de Kyoto. Ce fait diminue vraiment l’efficacité du protocole.
Il est évident que tous les pays doivent veiller à la préservation de la couche d’ozone, cependant tout le monde ne veut participer au financement, ce qui pose également un problème. Certains pays profitent ainsi de l’avantage de l’action internationale sans subir en fait le coût. Comme ces quatre pays non signataire du protocole de Montréal.
Finalement aucun pays ne veut assurer sa part de responsabilité car les pays développés estiment que c’est les pays en développement qui doivent faire plus d’efforts et les pays en développement considèrent que se sont les pays développés qui sont responsable de la situation actuelle.
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