Activité de sciences et vie de la terre

Elisa

Noir

2C

SVT

Activité p.277 :

Tout d’abord, le sujet étudié contient un grand nombre de documents. Le premier document est constitué d’un texte explicatif et d’une image pour illustrer celui-ci, portants sur la vie sans microbes. Le deuxième document explique les différentes fonctions d’un organe et comporte un schéma et une image. Le troisième document, est un texte explicatif, suivi d’un tableau, sur le microbiote et le système immunitaire et leur fonctionnement. Le quatrième document porte sur le microbiote et la digestion, un schéma explique son fonctionnement. Et le dernier document explique les différents cas de relations du microbiote, un tableau ainsi qu’un petit texte illustrent cet exemple.

Les souris axéniques font faces à différents troubles (hyperactives, longue digestion, intestin peu développé, enzymes digestifs moins efficaces...), car elles ne possèdent pas de microbiote. Or, si on leur en transplantait un, ces troubles disparaîtront. Celui-ci participe à la digestion des fibres, et à la maturation du tube digestif et à l’entretien de la muqueuse intestinale, ce qui explique en quoi celui-ci annule les troubles des souris axéniques.

Cependant, si l’on compare le système immunitaire d’une souris avec un microbiote intestinal, et une souris axénique. La souris possède une rate, et des ganglions lymphatiques normaux, une quantité de lymphocytes dans la rate et l’intestin sont normaux, et sa quantité d’anticorps l’est également. La présence du microbiote en est responsable car pour la souris axénique tous les résultats à ces tests sont petits, faible, nulle, ou réduite.

C’est pourquoi une souris axénique, qui ne contient donc pas de microbiote, fera face aux symptômes vus précédemment, liés majoritairement à l’intestin et au système digestif en général.

En outre, ce système intestin-microbiote constitue une symbiose car il regroupe un grand nombre de microorganismes dans les intestins et sont donc en symbiose avec l’organisme de l’être. Dans le document 5, on remarque que l’espèce A et B sont favorables donc à cette symbiose.

D’autres relations peuvent exister, la « compétition » apporte une action défavorable, sur les deux espèces, elle apporte la même action. Ainsi que le « neutralisme » qui n’apporte rien ni à l’espèce A ni à l’espèce B.

Activité p.278 :

Dans un premier temps, on remarque plusieurs documents. Le premier nous explique ce que sont les antibiotiques et quel est leur conséquence sur le microbiote, il compose un texte explicatif et plusieurs schémas.

Ensuite, le deuxième document comporte également plusieurs schémas et des textes explicatifs, portants sur l’obésité et ce que celle-ci modifie dans le microbite.
Enfin, le troisième document porte sur les bactéries bénignes, à rôles protecteurs. On y retrouve un texte et un schéma pour l’illustrer.

Nous étudions en premier lieu, une p        pathologie : l’obésité. Dans le document, le patient souffrant d’obésité possède un microbiote déséquilibré, on étudie donc son taux de bactéries.

Le patient obèse, regroupe en majorité deux bactéries dans le microbiote, les bactéroïdetes, et les Firmicutes. Le patient suit un régime, réduisant au maximum le taux de graisse. On remarque qu’à la première semaine de régime, le taux de firmicutes est très élevé, mais celui de bactéroïdetes est très faible. Ce n’est que lorsque le patient est mince que le taux de bactéroïdetes augmente.
On remarque donc, que lorsque le patient guérit, son taux de bactéries est rééquilibré. Cette maladie est donc le résultat d’un déséquilibre des communautés bactériennes du microbiote.

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