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Neurosciences : la méta-éthyique

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Par   •  24 Mars 2022  •  Cours  •  1 526 Mots (7 Pages)  •  327 Vues

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Cours fondé sur a morale : la méta-éthyique

philosophie morale «3 branches : la méta éthique, l’éthique normative et l'ethyique appliqué

éthique et morale veulent dire la même chose. Normative : branche de la morale censé nous dire quand est-ce que une action est juste ou pas, des règles pour savoir si ce que l'on fait est bien ou pas, Cela nous donne les normes normales.  

3 grande théories d’éthique normatives : la 1ere, la théorie déontologique iventé par Kant. -Une théorie qui dit vous faites une cation morale lorsque vous obéissez a une loi morale ; quelle est cette loi ? Une action est bien/juste si elle est faite en traitent les autres comme des fins et non comme des moyens (ne pas se servir des personnes, ne pas utiliser pour son intérêt. (ne pas mentir)

-Autre formulation : agir de telle façon que ton action puisse être universalisé (ne fais pas aux autres ce que tu voudrais pas qu'on te fasse, ne pas mentir a quelqu'un parce que tu veux pas qu'on te mente.) Cette théorie pose des problèmes parce quil faut considérer que les lois morales existent, et ça ne prend pas en compte les conséquences des actes (mentir peut avoir des bonnes conséquences)

-La troisième formule : utilitarisme :Une action est bonne lorsqu'elle apporte plus de plaisir que de déplaisir. Contrairement à la précédente, on se soucie des conséquences.(mentir pour faire plaisir et donc on se dit que c'est bon). Inventé par William James

-La théorie des vertus : une action est bonne/juste si elle est accomplie par une personne vertueuse. Cette personne doit obéir a des traits de caractères considérés comme vertueux.

Exemple de vertu : le courage

Déterminer ce qu'est la vertu et agir en conséquence. Aider pour avoir une bonne image n'est pas une action morale, c'est juste pour avoir bonne réputation et non pour l'aider ; on agit pas selon un trait de caractère vertueux.

L'éthique appliquée

-Appliquer l'éthique normative (éthique morale)

Exemple : euthanasie, morale ou immoral ? Le mariage homosexuel, morale ou immoral ?

Ce que l'on va étudier : la méta éthique

méta : discours sur

méta ethique : discours sur l'éthique. Elle traite sur les question fondamentales ; est-ce que le bien et le mal existe ? Qu’est-ce qu'une valeur morale ? Les valeurs morales (uste et injuste) sont-elles subjective ou objective ? Comment peut-on connaître ces valeurs ? Les jugements moraux peuvent être vrais ou faux ? Les valeurs morales nous poussent-elles à agir ?

La méta éthique fonde l’éthique normative et la normative fonde l'appliqué. Une fois avoir répondu à une question méta éthique on cherche à trouver une théorie correcte

-chercher encyclo philo : les notions, entrée méta  éthique

Les théories méta éthique :

-L'exprecivisme :

-subjectivisme : bien ou mal

-le naturalisme : bien et mal sont des valeurs naturels

-le réalisme : le bien ou le mal existe vraiment

-le nihilisme : pas de morale, la morale est une illusion.

En méta éthique, on peut se poser plusieurs questions dans ses sous domaines. Les -premières questions sont d'ordre sémantiques (qui porte sur le langage). La plus grande question est de savoir si un énoncé moral c'est citer une action et vous dites si c'est mal ou bien. Que signifie Dieu ?

énoncé pas morale : le soleil se lève

-Ensuite des questions qui portent sur l’anthologie. Elle traite de ce qui existe et de ce qui n'existe pas. Des questions non pas sur le langage mais de la réalité : Dieu existe-t-il ?

-Les questions épistémologiques :   Comment peut-on connaître les valeurs morales ? Comment connaît-on Dieu ? Par révélation ou par intuition ?

La sémantiques : le cognitivisme et le non cognitivisme.

Énoncé : jugement. Cet énoncé exprime une croyance ou seulement un désir ?

-Les cognitivistes :  les énoncés moraux décrivent des attitudes cognitives, des croyances. Les énoncés moraux peuvent être vrais ou faux et ces énoncés permettent de décrire des faits moraux . Il suffit de regarder dans le réel si c'est vrai ou non. Décrire des faits du monde. Les propositions morales décrivent des faits, elles sont vraies ou fausses.

-Les non cognitivistes : les énoncés moraux ne décrivent pas des croyances mais des attitudes conatives ; à savoir des désirs, des approbations, désapprobations. Les énoncés moraux ne décrivent pas les choses telles qu'elles sont mais expriment nos attitudes envers ces choses. Manger de la viande c'est dégueulasse mais on ne décrit pas des faits moraux.  La façon dont nous on se reporte au monde. Les propositions morales ne décrivent pas de faits (un ordre sans explication)

Deux grandes pensés dans le cerveau : d'un côté les croyances (peuvent être vraies ou fausses) et d'un autre  des désirs et volonté (ni vrais ni faux).

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