Étude du roman Soigne Ta Chute de Flora Balzano
Dissertation : Étude du roman Soigne Ta Chute de Flora Balzano. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar annasmi • 19 Janvier 2013 • 709 Mots (3 Pages) • 2 255 Vues
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Soigne Ta Chute De Flora Balzano
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Catégorie: Religion et Spiritualité
Soumis par: Lisle 19 mars 2012
Mots: 954 | Pages: 4
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ée» et que «Tous les immigrants sont des écoliers». (34)
Très vite la perte de contrôle laisse place à la révolte. La narratrice en a assez d’être marginalisée et veut prendre les choses en main pour se faire accepter. Pour se faire, « [elle] tient absolument à faire partir de quelque chose» (36) c’est-à-dire un groupe ou une association où «on va [l]’entendre» (36) réclamer et faire valoir les droits de la «minorité audible» (36) dont elle pense faire partir.
Rappel du sujet :
« Comment trouvez-vous la représentation de la mère dans le récit de Flora Balzano, Soigne ta chute? »
1. Rejet de la mère
1.1. Méprise et fantasme
« Elle mériterait que je fasse une fugue. Mais je le connais, elle s’arrangerait pour me la gâcher. » (p. 13)
« J’ai rêvé que ma mère, tendrement, me caressait la joue. Je me suis réveillée en sursaut. » (p. 44)
1.2. Marginalité de la mère
« Ma mère, c’est une ancienne hippie. […] Tout ce qui met de l’ordre, ils [les hippies] n’aiment pas. […] Même pour l’argent, ils ne sont pas doués. » (p. 13-14)
« […] les anciens hippies, ça culpabilise pas. Je les entendais, elle puis ma sœur, s’embrasser et se souhaiter bonne nuit. C’était horrible. Puis elle a eu le culot de vouloir m’embrasser aussi. […] Alors moi, s’il y a une chose qui m’écœure dans la vie, à part ma mère, c’est l’humour. » (p. 21)
La mère de la narratrice est un ex-héroïnomane : « […] je connais son écœurante histoire […] » (p. 14)
1.3. Sentiments de haine
« Alors moi, s’il y a une chose qui m’écœure dans la vie, c’est ma mère. Elle est nulle. Elle a toujours été nulle. Elle sera toujours nulle. Même si le mot toujours ne veut plus dire grand-chose à son âge. Parce qu’en plus, elle est vieille. Nulle et vieille et moi, je lui en veux à mort. » (p. 13)
« Elle est comme ça ma mère, nulle pour le dialogue. » (p. 13)
« Moi puis ma sœur, on se regarde, on la déteste, on l’haït, elle avait rien qu’à pas nous faire, les condoms ça existe, merde, l’amour ça se protège, crime, […] » (p. 19)
2.
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