La Tete de turc de big brother : comment les internautes sont drogues et fiches

La génération Y est caractérisée par sa curiosité, sa créativité et aussi par le fait qu’elle est toujours en ligne. Ce qui se déroule virtuellement règne-t-il sur notre vie actuelle ? Devient-on plus dépendant des appareils numériques ? N’est-on pas fiché suffisamment par notre gouvernement et notre famille ? Qui sont nos Big Brothers ?

gameHésiter ? Cela n’existe pas pour la plupart des internautes “les exhibitionnistes”, on est tous conscient de ce qu’on met sur la toile comme notre identité, notre âge, notre niveau de diplôme, nos goûts culturels, notre vie amoureuse, notre orientation sexuelle. On dévoile notre vie privée sans en connaître les conséquences. Par exemple, quand on est en train de mettre à jour un fichier, on nous demande d’accepter ou de refuser quelques conditions, mais comme on est très "occupé" et que nos droits ne nous intéressent pas, on les accepte sans les lire. (La série télévisée d’animation américaine South Park a fait la satire de cela dans un épisode où un des personnages ne les lit pas et à la fin, il se retrouve forcé de subir la torture du mille-pattes) Donc, sans même le savoir, on donne l’autorisation de ficher, de traquer tous nos renseignements. On peut donner comme exemple la NSA (l’agence de sécurité nationale des États Unis) qui traque tout ce qui se passe dans le monde entier jusque dans les supermarchés.

Sur les réseaux sociaux, il est facile de récupérer et de détourner les informations personnelles de quelqu’un et de se mettre à sa place. Par exemple, deux adolescentes Amanda Todd et Jessi Slaughter ont subi les effets des informations qu’elles ont transmises. Une s’est donnée la mort après avoir été harcelée sur le Web et l’autre a été la cible des « Anonymes » du site 4chan après la publication d’une vidéo sur YouTube. La destruction de la réputation de quelqu’un est parfois difficile à effacer.

La vitesse des téléchargements nous énerve souvent 30%..60%..99%..le monde est imprévisible en raison des changements réalisés non stop. Les jeux vidéos, les travaux, les savoirs, les liens amicaux sont maintenant fondés à la fois sur internet et à la fois sur les appareils numériques. On joue aux jeux vidéos qu’on aime sur nos tablettes tactiles, nos ordinateurs, nos consoles en se connectant sur internet afin d’avoir le sentiment qu’on y joue ensemble. On communique en utilisant des applications comme Whatsapp, BBM, Line qui sont, en particulier le premier, tous enregistrés sur nos téléphones portables. Ces applications ont comme conséquence de créer une addiction, les internautes sont comme des drogués du numérique. Une de nos grande peur est d’ailleurs celle de perdre notre connexion internet.

"J’ai une ferme très grande et je passe ma journée dans les champs" "J’adore faire craquer des bonbons". "J’ai créé un monde pour moi-même où mes rêves se réalisent", ces phrases pourraient sembler ordinaires mais deviennent ridicules dès qu’on sait qu’elles sont prononcées par des personnes jouant à des jeux vidéos.

Notre société debig-brother-is-watching-you_136593 consommation suit différentes routes pour nous faire dépenser tout notre argent. Les jeux vidéos nous obligent à jeter notre argent par les fenêtres. D’ailleurs, le

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