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EXPERTISE MUSICALE

Étude de cas : EXPERTISE MUSICALE. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Novembre 2017  •  Étude de cas  •  3 220 Mots (13 Pages)  •  642 Vues

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Méthode 

  1. Musiciens 

Cette étude comprend 72 participants :

  • 24 violonistes : 6 hommes, 18 femmes

  • 24 pianistes : 7 hommes, 17 femmes
  • 24 non-musicien :
  • 7 non-musiciens (4 femmes, 3 hommes) n'ont jamais joué d'instrument de musique ou pris de cours de musique.
  • 17 participants (13 femmes et 4 hommes) ont pris des leçons de musique élémentaire pendant l'enfance ou l'adolescence, mais n'avait pas fréquenté un collège de musique formel ou pratiqué quotidiennement sur une période prolongée.

Tous les participants sont droitiers et signalent aucun antécédent de déficience visuelle, déficience visuelle corrigé ou de troubles neurologiques.[pic 1]

[pic 2]

[pic 3]

[pic 4]

  1. Matériel

L'étude a reçu l'approbation éthique de l'éthique locale au Collège Birkbeck. Les participants ont essentiellement réalisé en grande partie des tests dans une cabine sonore atténuée. Deux autres évaluations :

  • Psychophysique visuelle et
  • Audiométrie tonale dans un environnement silencieux et isolé.

 Le volume des sons a été fixé au même volume par tous les participants.

  1. Procédure

Les batteries de test étaient coupées par des pauses pour éviter la fatigue et duraient en moyenne 3h.

  1. Questionnaire sur le passé de la pratique des participants

Les musiciens ont fourni des données concernant leurs nombres d’heure de pratique actuelle et celle pratiqué dans le passé (heures de pratique quotidienne de 3 à 4 ans, jusqu'à 19 ans et plus).

Les données sur les pratiques passées ont été déterminées en multipliant les estimations des heures de pratique quotidiennes à chaque tranche d'âge (3-4 ans, 5-6 ans, etc., jusqu'à 19+ ans) pour produire estimations annuelles.


Les heures de pratique des musiciens ont été utilisées comme prédicteurs pour chaque mesure expérimentale pour déterminer l'influence sur les pratiquent à des âges précoces spécifiques et sur le total accumulé de la pratique à vie des musiciens sur les plans psychophysique et cognitif performance de la tâche.

Nous avons défini deux variables binaires en tant que régresseurs séparés :

  • Les musiciens qui ont / n'ont pas signalé pratiquer à 3-4 ans,
  • Les musiciens qui ont / ont fait ne déclare pas avoir pratiqué une heure ou plus par jour à 7-8 ans.

 Ces régresseurs ont été définis pour tenir compte de l'influence de la pratique aux stades précoces du développement sur la perception postérieure et / ou des résultats cognitifs. Nous avons utilisé le total accumulé des heures de pratique à vie comme autre régresseur.

  1. Goldsmith’s Musical Sophistication Index : Sous-échelle de formation musicale

Tous les participants ont complété la formation musicale de 9 items sous-échelle de la Sophistication musicale Goldsmiths Index, un questionnaire d’auto-évaluation. Trois items évaluent le statut et la compétence du musicien comme interprète selon une échelle de Likert à 7 points. 6 items ont évalué les années engagées dans des activités liées à la formation.

  1. Evaluation de l’oreille absolue

L’oreille absolue (AP) des musiciens a été évalué avec trois signal sonore de longueur d’onde différentes (495 Hz, 733,348 Hz, 660 Hz).

Après la présentation de chaque signal sonore, les musiciens ont dû nommer la note de musique qu'ils venaient d'entendre.

  • 7 violonistes ont rapporté AP,

3 ont appelé les trois tons correctement.

2 violonistes ont nommé deux tons correctement chacun

2 violonistes ont nommé un seul ton correctement chacun.

  • 9 pianistes ont rapporté AP

7 ont nommé tous les tons correctement,

2 autres pianistes nommés un et deux tons correctement respectivement.

  1. Tâches psychophysiques auditives

Trois tâches ont évalué :

  • La discrimination du temps de montée de l'enveloppe,
  • La détection de la modulation d'amplitude (AM)
  • La détection de la modulation de fréquence (FM).

Toutes les tâches présentaient des stimuli standard et de test, où les sons de test variaient de manière adaptative.

  1. Stimuli

Toutes les expériences ont utilisé une forme d'onde en dents de scie complexe (f0 = 220 Hz, 50 premières harmoniques), séquentiellement traverser par une série de résonateurs de fréquence centrale variable (cf1 = 500 Hz, cf2 = 1500 Hz, cf3 = 2500 Hz, toutes les bandes passantes = 100 Hz).

Pour les expériences AM et FM, les sons standard non modulés ont une durée de 250 ms (Montée et descente linéaires de 20 ms). Les sons standards de temps de montée ont un temps d'apparition linéaire fixe de 15 ms. Les sons de temps de montée standard et de test ont un temps de décalage linéaire fixe de 350 ms (durée totale = 750 ms).

Les stimuli de comparaison dans le FM la tâche de détection (toutes avec un taux de modulation de 4 Hz) allait d'une excursion maximale de 16 Hz à un minimum potentiel de 0,16 Hz.

  1. Procédure psychophysique auditive


Toutes les tâches employé une procédure adaptative à trois alternatives (3AFC) suivi d'une précision de réponse de 79,4%.

Chaque essai a présenté deux sons standards et un son de test (inter-stimulus intervalle [ISI] = 500 ms). La position du son du test variait aléatoirement entre les trois intervalles entre les essais. Chaque tâche utilisait un affichage visuel avec trois grenouilles de dessin animé situées à gauche, au centre et à droite de l'écran. Chaque grenouille produisait un son à son tour (de gauche à droite). Les participants ont choisi la grenouille qu'ils percevaient comme étant la «sortie impaire» de chaque essai.

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