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Synthèse de document

Étude de cas : Synthèse de document. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  17 Juin 2020  •  Étude de cas  •  639 Mots (3 Pages)  •  1 860 Vues

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Synthèse n°1 A toute vitesse

        Dans ce corpus nous allons confronter 4 documents, nous allons retrouver un extrait du roman La bête humaine D’Emile Zola parut en 1890, il y aura également un extrait du Manifeste du futurisme écrit en 1916 par Filippo Tommaso Marinetti, mais aussi un extrait de La maison du berger de 1844 écrit par Alfred de Vigny, et pour finir il y aura un photogramme d’un film de Charlie Chaplin, Les temps modernes de 1936.

Tout au long de cette synthèse nous allons suivre la problématique suivante, en quoi pour ces documents la vitesse est-elle néfaste pour l’homme ?

Dans un premier temps nous allons rapprocher la vitesse et les nouvelles technologies, le besoin permanent de l’homme à inventer, améliorer sans cesse en créant des machines, pour au final réduire les efforts des humains. Puis dans un second temps nous verrons le revers de la médaille, soit ici le fait que les machines qui sont de plus en plus puissante, mais incontrôlable.

Pour commencer, le photogramme du film de Chaplin nous montre une machine qui sert à nourrir un ouvrier pendant qu’il travail, pour ne pas avoir de coupure de travail et donc pour produire plus. Pour ce qui est des textes de d’Emile Zola, de Filippo Tommaso Marinetti et celui d’Alfred de Vigny, ils mettent en avant les trains qui transportent tous des soldats pour les amener à la guerre (pour les textes de Zola et de Marinetti).

Dans le texte de Marinetti ces machines, ici le train et principalement les automobiles sont sources de plaisir, de contrôle, voir même la continuité de l’homme aux commandes.

Pour l’extrait du Manifeste futuriste la vitesse du train et la voiture entrainent le changement du paysage qui l’entoure, le paysage qui défile en sens inverse qui devient pour l’auteur un art. La vitesse des voitures, trains et aéroplane procures des sensations de biens être. Pour lui la vitesse permet de revivre, en détruisant l’Amour qui pour lui est « sédentaire » alors qu’avec le mouvement que la vitesse procure les gens revivent.

Cependant la vitesse peut aussi détruire des vies.

Les inventions peuvent parfois être utile, mais à cette époque souvent elles sont incontrôlables, comme dans le film de Chaplin où l’on voit que Chaplin est inquiet à l’idée de se faire servir à manger directement dans sa bouche sans aucun contrôle. Et il a bien raison car quelques secondes plus tard cette machine s’emballe et lance la nourriture à sa figure, et rempli bien trop la bouche de Charlie Chaplin sans que celui-ci ne puisse rien faire car il est « prisonnier » de la machine. Nous retrouvons ce concept de prisonnier dans l’œuvre La bête humaine car lorsque les deux conducteurs se tue, le train est hors de contrôle. Personne ne peut l’arrêter, il passe à toute vitesse dans les gares en évitant parfois le drame.

Dans la bête humaine il y a une personnification du train, on peut y trouver les mots « la bête », « galop », « bête aveugle », etc. Cela peut être rapprocher au fait que l’humain fonce tête baisser sans penser aux conséquences qui peut y avoir comme le dit Emile Zola : « la bête qui foncait tête basse et muette », « qu’importaient les victimes que la machine écrasait en chemin ! »

         La vitesse, qui est de plus en plus élevé dû à l’envie d’améliorer sans cesse tout ce qui entour l’Homme. La vitesse peut avoir des effets bénéfiques pour l’homme, qui se sent vivre dû au fait que la vitesse est dangereuse. Le corps humain relâche de l’adrénaline ce qui créer des sensations aux hommes, qui en deviennent souvent accro. Cependant à haute vitesse il est de plus en plus compliqué de contrôler la machine.

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