Les bases d'Excel
Cours : Les bases d'Excel. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Serge Wallas • 19 Novembre 2020 • Cours • 764 Mots (4 Pages) • 409 Vues
DISCOURS DE SOUTENANCE
Madame la présidente du jury, madame et messieurs les membres du jury, chers collègues, chers amis,
Remerciements Avant de me lancer dans le vif de la présentation de mon travail de TFC, je souhaiterais remercier les membres du jury d’avoir porté intérêt à mon étude et d’avoir accepté de participer à cette soutenance. Je tiens également à remercier de vive voix professeur de cours, Collin KAZADI SHABANZA, pour le soutien qu’il m’a apporté pendant ma période de recherche. Je souhaite par ailleurs profiter de ce temps de parole qui m’est accordé pour remercier l’Université de Likasi grâce à laquelle j’ai pu bénéficier de très bonnes conditions de travail, tout aussi bien matérielles que scientifiques, ainsi que le centre de recherche.
Présentation du sujet
Pour le dire rapidement, mon travail porte sur L'administration publique locale face à la sécurité des personnes et de leurs biens dans la ville de Likasi (en R.D.Congo) : Cas du territoire de Kambove.
Approche et méthode
Pour ce faire, j’ai décidé de centrer mon intérêt sur ce que j’ai appelé l’ « action publique locale de gérer la sécurité des personnes et leurs biens ».
Résultats
Ainsi, l’étude que j’ai conduite sur l’action publique locale de gérer la sécurité des personnes et leurs biens : - les habitats « isolés », qui correspondent, pour ceux qui ont livré des vestiges de la vie économique, à des fermes rentables et parfois à des villae rusticae. Pour la plupart, ces établissements se situent à proximité des agglomérations principales et semblent fonctionner avec elles d’un point de vue économique. Elles y vendaient leur surplus et s’y fournissaient certainement en outillage ou autre mobilier. - Viennent ensuite les habitats « groupés ». Il s’agit des villages. Le fonctionnement économique de cette catégorie d’établissement est assez délicat à cerner car les informations dont nous disposons les concernant sont approximatives, mais aussi parce que cette catégorie est finalement peut-être mal définie. Il n’empêche que ces villages présenteraient une relative autonomie économique vis-à-vis des principales agglomérations, en ce qui concerne l’alimentation et les productions artisanales élémentaires (céramique, métallurgie). Ces villages, comparativement aux habitats « isolés », peuvent connaître des situations plus éloignées des agglomérations principales, parfois même reculées et connaissent en définitive un isolement souvent plus important que les habitats « isolés ». - Viennent enfin les deux dernières catégories, les centres urbains secondaires qui apparaissent comme des agglomérations assez importantes mais qui n’avaient pas le statut de cité, et les cités. Selon que l’on se trouve en Bottiée, en Piérie ou en Éordée, la taille de ces agglomérations, centres urbains secondaires et cités, a sans doute passablement varié, allant de l’ancienne capitale royale à la petite bourgade. Mais, dans tous les cas et assez logiquement, c’est dans ces établissements que se concentraient l’essentiel de la production artisanale, mis à part le textile, et l’essentiel des échanges. Par ailleurs, l’étude de la documentation recensée laisse apparaître que l’autoconsommation des productions agricoles aurait été de mise dans les différents types d’établissements : au sein d’une partie des populations urbaines, dans les villages et dans les fermes. Je n’ai pas pu approfondir la question des conséquences de la conquête romaine, qui était l’un des axes principaux de mon projet de recherche initial, et que je désignais par le terme de « romanisation » au début de cette présentation. Pourtant, l’impact qu’a pu avoir l’instauration du pouvoir romain sur la société et le territoire macédoniens a tout de même constitué l’un des fils rouges de ma réflexion. À ce sujet, nous pouvons noter que, bien que la conquête romaine soit intervenue au milieu du IIe s. av. J.-C., son impact ne semble pas se faire sentir avant la fin du Ier s. av. J.-C., période à laquelle intervient la fondation des colonies. Par ailleurs, contrairement à ce que l’on peut constater dans d’autres régions de la Grèce ancienne, les campagnes macédoniennes ne semblent pas se vider aux IIe et Ier s. av. J.-C. Enfin, le modèle de la villa rustica ne paraît pas avoir pénétré de façon massive dans cette région. Ces éléments de conclusion, c’est-à-dire les constats tirés de l’application aux sources de la méthode que j’ai rapidement exposée, restent bien évidemment à développer et à interpréter. Pour ce faire, il serait d’abord possible de simplement approfondir chacune des conclusions amenées dans la synthèse, par un travail de recherches plus poussé et un élargissement de la documentation utilisée. Il serait possible, ensuite, de creuser la question de la signification des contextes dans lesquels s’insèrent les « structures » afin d’affiner le rôle et la fonction économiques de ces dernières.
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