Individu, technologie et société
Dissertation : Individu, technologie et société. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pat30m • 11 Décembre 2017 • Dissertation • 1 704 Mots (7 Pages) • 912 Vues
Introduction
Les nouvelles technologies sont maintenant au cœur de notre quotidien et nous entoure tant au niveau professionnel que personnel. Comment cette présence affecte-t-elle les différentes générations? Comment m’affecte-t-elle? À travers les prochains articles et observations, nous tenterons d’y répondre.
Partie 1
L’impact des nouvelles technologies dans la société actuelle
Ascension fulgurante de la technologie sur la société
Au cours des quinze dernières années, nous avons été témoins d’une ascension fulgurante et du grand développement des moyens technologiques. Plusieurs d’entre nous avons été témoins de l’arrivée des téléphones portables et intelligents ainsi que de la création d’internet. Inventions qui ont révolutionné nombreux aspects de notre quotidien mais quels sont leurs impacts, sont-ils tous positifs?
Il est entendu et évident que ce progrès est admirable mais nous devons également tenir compte des effets sur nous tous nous apportant bien des comportements excessifs et créant en nous une dépendance notoire.
Alors que ces technologies sont toutes nouvelles, il est remarquable d’observer à quelle vitesse ces dernières ont apporté chez nous un tout nouveau comportement devenu absolument naturel et dépendant de ces technologies.
Est-il possible de revenir en arrière et ne plus utiliser ces technologies? Bien sûr que non, jamais les entreprises refuseraient les nombreux avantages que leur apportent toutes ces prouesses technologiques; efficacité, rapidité, facilité… En tant qu’individu, notre quotidien est maintenant moulé et façonné autour de ces technologies et notre communication avec les gens nous entourant tant personnellement que professionnellement est bien souvent basé uniquement à même ces nouvelles technologies.
Il est maintenant important de se questionner sur les aspects positifs et négatifs de ces avancées technologiques. Nombreux nouveaux types de vices peuvent être rapidement remarqués tel que l’ignorance nouvelle de la différence entre la vie privée et personnelle versus la vie publique. Plusieurs personnes n’en font plus la différence. Et que dire de l’orthographe qui subit les lourdes conséquences des nouveaux moyens de communication et de la rapidité que ceux-ci offrent.
Assurons-nous de ne pas y perdre notre identité personnelle et accrochons nous fermement à nos valeurs.
L’utilisation des médias sociaux chez les jeunes Québécois du secondaire : Quatre types d’utilisateurs de Facebook
Avec l’arrivée des réseaux sociaux tel que Facebook, la vie privée des gens devient maintenant publique et ouverte, mais les adolescents, sont-ils vraiment conscients de cette réalité et de ses conséquences?
Basée sur une recherche effectuée dans le cadre du cours Laboratoire de Recherche en sociologie, on y analyse le comportement des jeunes face aux réseaux sociaux et les dangers que ceux-ci comportent. Cinq groupes de discussions composés d’élèves du secondaire ont été formés puis étudiés en plus de rencontrer et discuter avec des parents. Les questions posées aux élèves et aux parents portaient sur les relations sociales, l’échange d’information dans les sphères privées et publiques ainsi que l’utilisation de Facebook.
On y remarque un grand impact sur la vie sociale et les différents niveaux touchés par la vie privée rendue publique. Mais avant tout, on y développe donc quatre types d’utilisateurs bien définis :
L’ouvert : utilisateur dont le profil est public, comporte un grand nombre d’amis et partage aisément et librement les aspects de sa vie privée.
Le social : Proche de l’utilisateur ouvert, celui-ci se distingue par une plus grande réserve en ce qui touche sa vie personnelle et privée. Son intimité n’y est pas partagée, ou rarement, alors qu’il est prêt à partager publiquement tout le reste.
L’institutionnel : Il utilise Facebook de façon pratique et limite ses amis à sa vie réelle. Son utilisation est limitée et pratique. Facebook devient donc une ressource utilisée au même titre qu’un agenda social.
L’utilitaire : Il partage très peu d’informations personnelles sur sa page Facebook et utilise ce moyen pour garder contact avec les gens qu’il connaît personnellement. C’est donc celui qui prend le moins de risques.
On peut aussi ajouter à cette liste le non-utilisateur, c’est-à-dire celui qui refuse de s’abonner ou qui n’utilise plus Facebook soit par craintes, par manque de temps ou d’intérêts.
L’intimité, les relations sociales, la motivation, tous sont des facteurs caractérisant l’utilisant de ce réseau social. Ce sont également ces facteurs qui démontrent bien l’écart générationnel qui n’est pas aussi grand que plusieurs pourraient s’imaginer. Les mêmes types de comportements sont aussi observés chez les plus vieux.
La conscience du risque reliée au partage d’informations personnelles et privées et bien souvent connues chez les utilisateurs, et le nombre d’utilisateurs à haut risque est plus bas que la majorité peut s’imaginer.
Ces types d’utilisateurs nous permettent donc de mieux comprendre les différents degrés d’utilisation de ce nouveau phénomène social.
L’utilisation du numérique selon cinq générations d’internautes.
Cet article vise à étudier et analyser l’utilisation du numérique selon les différentes tranches d’âge et y constater les différences importantes et permet d’établir des chiffres intéressant pour chacune de ces générations :
Les 18 à 34 ans, c’est-à-dire la génération Y, est celle qui passe le plus de temps sur internet avec près de 94% de ceux-ci. Leur utilisation moyenne est d’environ 23 heures semaine.
Alors que la génération X, les 35 à 44 ans, est celle qui favorise le plus la possibilité d’acheter en ligne. Cette génération est aussi celle qui a conne le plus haut taux d’augmentation quant à l’utilisation de tablettes numériques
Les jeunes boomers, âgés entre 45 et 54 ans, utilisent internet pendant près de 18 heures en moyenne. Cette génération détient plus de téléphones intelligents que la moyenne de la population.
Tandis que les boomers, génération
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