Synthese - La pression scolaire

ALLOUCHE Joseph        BLAVIER Emma _                CHAUDON Estelle         DISSEM Rayan

Synthèse SES

Au cours de différentes heures en demi-groupes nous avons essayé de répondre à une problématique qui nous intéressait : Dans quels milieux sociaux, la pression scolaire est-elle la plus présente ?        

Grâce à un exposé sur la pression scolaire, nous avons pu distinguer deux catégories sociales différentes en France.                                                                                         D’une part, le milieu aisé, dans lequel la pression scolaire est très présente. Et, d’autant plus accentuée par les parents qui accordent une réelle importance aux notes. Les professeurs, en font de même, selon la Constante Macabre, les élèves sont sous notés afin qu’ils se surpassent.           Deux sociologues, M. Marie Duro-Bellat et A. Van Vanzan étudient le tropisme des parents, c'est-à-dire, la pression qu’ils exercent sur leurs enfants et qui les fragilisent.                                D’autre part, dans le milieu défavorisé, la pression scolaire est moins importante, puisque les parents ne se sentent pas eux-mêmes à la hauteur pour aider leurs enfants. Ces enfants sont d’ailleurs qualifiés de grands perdants, selon le journal 20mn.

Un deuxième exposé sur des enquêtes d’opinion auprès de cents différentes personnes dont certaines sont en 6ème, 5ème, 4ème, 3ème, 2nde, 1ère, terminale, CAP ou STI2D, a été réalisé. Différentes questions leur ont été posé sur leur classe sociale, le stress et les exigences de leur scolarité. D’après, les résultats obtenus, il est facile de diviser les résultats en deux groupes.                                Même si les valeurs ne sont pas forcément significatives, on remarque que les classes sociales de milieux modestes à défavorisés sont en général beaucoup moins stressées que les classes bourgeoises. La pression scolaire est plus présente dans les milieux favorisés qui ne souhaitent pas subir un déclassement social. Mais ce n’est pas une fatalité puisqu’un certaines personnes des classes défavorisées ou modestes souhaitent vivre une ascension social.

L’avant-dernier exposé porte sur l’étude de quatre élèves, provenant de deux milieux différents.                                                                                                Une étude portée sur deux élèves de milieux modestes, montre qu’ils ont une bonne relation avec leurs professeurs, et ne travaillent qu’environ une heure par soir. A contrario, les élèves de milieux favorisés, ont peu d’aide de la part de leurs professeurs. On remarque, au niveau du temps de travail un écart important entre les études pédagogiques et les accompagnements plus poussés. Ils passent entre 2heures et 3heures à travailler le soir chez eux.

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