Théories fondés sur la notion d’avantages
Étude de cas : Théories fondés sur la notion d’avantages. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mounabaq • 16 Octobre 2014 • Étude de cas • 3 343 Mots (14 Pages) • 671 Vues
Economie Internationale
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Chapitre I : Théories fondés sur la notion d’avantages
I. Les avantages absolus d’Adam Smith (la richesse des nations)
Les bienfaits du libre commerce :
Ecouler les excédents de production et se procurer des biens demandés sur le
marché
Stimuler la division du travail : augmenter l’habileté des travailleurs et élever la
productivité
Conditions : chaque pays se spécialise dans les activités où le coût par unité est
inférieur à ce qu’il est en étranger, et abandonner celles où les coûts sont plus élevés ailleurs
Limites : pour qu’un pays ait intérêt à s’ouvrir aux échanges, il faut qu’il possède un
avantage absolu.
II.Les avantages comparatifs de Ricardo (des principes de l’économie politique)
Enoncé de la loi : en se spécialisant dans la production dans laquelle il dispose d’un avantage
relatif en terme de coûts de production, chaque pays accroît sa capacité productive, et dégage
un surplus exportable lui permettant d’importer des biens qu’il ne produit pas (Cx/y)
Critique de la théorie de Ricardo :
Hypothèses restrictives et irréalistes :
o Le travail est le seul facteur de production
o Parfaite mobilité des facteurs de production sur le plan national
o Il n’y a pas de chômage
o Immobilité des facteurs de production entre pays
Autres limites :
o Ricardo ne précise pas l’origine de la différence des coûts de production
comparatifs
o Spécialisation absolue de chaque économie (monoproduction)
o Oublie de la demande
Economie Internationale
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Chapitre II : Théories fondées sur la notion de dotations factorielles
Théorème HOS
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explique les causes de l’échange
Section 1 : énoncé et hypothèses du théorème
Cette théorie complète l’œuvre de Ricardo, elle explique l’origine de la différence
internationale des coûts :
Chaque pays se spécialise dans la production du bien qui utilise relativement le facteur le plus
abondant.
K/L le plus élevé : pays intensif en capital
L/K le plus élevé : pays intensif en travail (c’est à dire demande)
Hypothèses :
Un modèle 2*2*2 : 2 pays, 2biens et 2 facteurs
Le libre échange
Même fonction de production pour chaque bien dans les 2 pays
Fonction de production : rendements d’échelles constants et productivité marginale
croissante
Mobilité des facteurs entre branches
Immobilité des facteurs entre pays
Absence de revirement d’intensité en facteur
Identité des goûts des consommateurs
Section 2 : critique du modèle néoclassique de spécialisation
Hypothèses irréalistes :
Les pays n’ont pas la même qualité de sol
Le travail d’un homme n’est pas toujours équivaut au travail d’un autre
Multinationalisation des firmes et internationalisation de la production et des capitaux
Existence de mouvements migratoire de main d’œuvre
Les pays de la CPP sont trop idylliques (homogénéité)
Le modèle HOS ne tient pas compte d’une évolution historique de longue période
Il n’est pas possible d’accepter le choix du modèle néoclassique (2*2*2)
Ce modèle ignore la présence de rendements d’échelles non constants
Section 3 : vérification empirique du modèle HOS : paradoxe de Léontief
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HOS :Heckcher, Ohlin et Samuelson
Heckcher et Ohlin
2causes :
dotations factorielles différentes (facteur de production)
intensités relatives différentes (biens)
Economie Internationale
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Après avoir effectué une étude sur le contenu factoriel direct et indirect des produits importés
et exportés aux
...