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Sociologie politique

Analyse sectorielle : Sociologie politique. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Juin 2014  •  Analyse sectorielle  •  1 838 Mots (8 Pages)  •  826 Vues

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La sociologie politique

On peut donner une explication à la politique a travers deux types d’accroches classique :

1ere accroche : la société est un système organique dans lequel chaque individu ou groupe joue un rôle, a travers ce rôle ces derniers assurent le maintien du système.

La socialisation les individus acquiert leurs traits de personnalité nécessaire a l’exécution de leurs rôle.

Cette démarche on la trouve utilisé dans certain nombre de courant sociologique, tels le marxisme, le systémique et le fonctionnalisme.

Marxisme

• Marxisme : Dans l’analyse marxiste, les besoins primaires (manger, dormir, se reproduire, se protéger) et secondaires (loisirs, luxe, transports, prestige, reconnaissance professionnelle, sociale) sont considérés comme le mobile fondamental de l’action individuelle.

• L’iC.-à-d que L’existence de ces besoins chez l’individu lui a conduit automatiquement a vouloir les les satisfaire naturelle.

• C’est à ce niveau là que MARX entre dans une analyse bipolaire, car nous sommes dans une recherche de satisfaction, mais en même temps, les intérêts des uns et des autres au sein des rapports de production sont déterminés selon leur apport spécifique.

• On va avoir d’un côté le capital, et de l’autre la force de travail. Ces divergences d’intérêts impliquent un système d’affrontement et de lutte des classes.

• Dans ce cas des interactions social se créent, est c’est a l’état d’intervenir en créant des contraintes et des obligations et assurer la stabilité des rapports de production.

L’analyse marxiste s’articule sur deux postulats :

la séparation des individus avec l’Etat,

l’identité des intérêts de la classe dominante avec ceux de l’Etat.

• La séparation des individus avec l’Etat :

• MARX montre qu’il n’existe aucun lien interne qui rattache les individus à l’Etat. Pourtant ils sont rattachés, mais à quoi ?

• L’Etat sera perçu comme une simple forme ajoutée à la dynamique des forces productives, pour garantir leur unité et leur universalité.

L’identité des intérêts de la classe dominante avec ceux de l’Etat :

• MARX établie un lien entre le développement de l’industrie, l’intensification de l’échange des produits à l’échelle mondiale vers la fin du 15ème siècle et la construction de l’Etat mondial.

• Il montre comment le niveau atteint par le capitalisme à cette époque nécessite la liberté et l’égalité des droits

• il s’agit de supprimer les clivages entre les personnel et de garantir les chances égales pour les concurrents bourgeois, d’assurer la sécurité juridique des échanges et de la propriété privée.

• Ces impératifs économiques constituent selon lui les contours des prérogatives fondamentales de l’Etat moderne.

• La Marx touche aux intérêts des classes dominantes et de l’Etat, car Marx considère que dans les sociétés antécédentes les intérêts de la classe dominante sont ceux de l’état,

• L’Etat n’est véritablement affirmatif que lorsqu’elle reussie a la suppression des classes, et assurer l’égalité entre tous les individus

L’analyse systémique :

C’est l’idée d’une interaction systématique entre les différents acteurs d’une société. L’analyse systémique met en scène des groupes d’acteurs ayant des rôles distincts et placés en situation d’interdépendance dans la situation globale. (ex : pas de voleurs, pas de policiers).

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un système d’activités, reliées les unes aux autres, qui ont en commun d’influencer toutes –plus ou moins –la façon dont les décisions impératives sont formulées et exécutées.

Schéma de l’analyse de EASTON sur le systémisme :

Inputs Outputs

Les inputs consistent dans les messages ou les impulsions que le système reçoit de l’environnement. Il s’agit des exigences et des soutiens.

Les outputs sont le produit de la réaction du système à l’expression des exigences et aux offres de soutiens. Ils prennent essentielles la forme de décisions et d’actions matérialisées dans les politiques publiques.

L’analyse consiste à déterminer la nature de ces exigences et leur mode de traitement. Il s’agit d’observer la nature de la réaction du système en rapport avec la satisfaction, la relance, le déplacement ou le durcissement des exigences. Plus on aura de mobilisation, mieux ça paiera, c’est ce système de pensées. Il en est de même pour les soutiens. Le rôle des dirigeants du système consiste à les interpréter, à les sélectionner, à les traiter et enfin à les convertir en décisions et en actions publiques.

L’approche du systémisme s’incère dans le cadre de la théorie générale des systèmes. Tout système qui va susciter une problématique de politique publique va rentrer dans le systémisme.

« Tout système comporte en soi sa propre finalité ». Cela veut dire que dans tout système on a son maintien, ou sa propre reproduction.

Dans l’adaptation de l’évolution du système les décisions et les actions publiques apparaissent comme des éléments déterminés reposant sur les exigences ou sur les soutiens. Pour le cadre de l’homosexualité, le soutien a été plus fort que les exigences.

Cette analyse séduit un certain nombre de chercheurs en science politique par sa clarté, sa simplicité, et son caractère opérationnel.

Le classement des éléments du système selon leur fonction, offrent des critères de jugement particulièrement solides. Mais l’exagération de la tendance supposée

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