Sociologie Politique
Dissertation : Sociologie Politique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 15 Novembre 2013 • 1 036 Mots (5 Pages) • 2 555 Vues
Introduction
COURS DU 10 SEPTEMBRE (AUDIO)
COURS DU 17 SEPTEMBRE (AUDIO)
Le vote ne représente rien à Athènes, il n'a pas de valeur démocratique, le pouvoir est distribué par tirage au sort alors qu'aujourd'hui il est distribué par le vote, à Athènes le vote est une procédure anti-démocratique. le vote est une procédure de sélection, on considère que certain valent plus que d'autre, le vote c'est l'idée même de choisir les meilleures, et qu'ils ont d'avantage de compétence, on ne vote pas si on n'est pas intéresser par l'idée d'un bon professionnel, dans le vote on trouve une dimension élitiste, il prélève de la pop un petit nombre de personne, ce qui créer de l'élite politique, c'est l'instrument même d'une élite po, il distingue les personnes. Si on vote on est intéresser par se système de création d'une élite. Par le vote on sélectionne l'élite qui exerce le pouvoir à notre place ce qui est totalement contraire à la démocratie d'Athènes qui donner le pouvoir à tout le peuple.
Pourquoi le tirage au sort c'est effondré près Athènes, et qu'on a de plus en plus adopté le vote comme procédure?
Le concept de consentement est un concept qui va faire son chemin tout au long des régimes politiques. L’idée selon laquelle un pouvoir doit être justifiée. Le peuple est près à se révolté s'il n'est pas consulté sur la question des impôts, ce doit être considéré et approuvé par tout, ce qui concerne tout le monde doit faire l'objet d'un consentement. Les peuples justifient le pouvoir, en consentent à ce pouvoir. Personne ne consent le tirage au sort, car c'est le fruit du hasard.
Le vote en revanche c'est la technique la plus approprié pour exprimer le consentement. Le vote est renforce le pouvoir, il n'est pas étonnant que les responsable d'état soit toujours en train de chercher à recueillir du consentement.
Avec le vote on peu parlé d'une cassure entre le peuple et l'état, les dirigeant.
La question démocratique c'est la question du droit de vote.
Il existe un espace spécialisé dans la politique.
Le totalitarisme est un concept de science po fondé après la 2nd GM pour désigner un mode de domination.
COURS DU 24 SEPTEMBRE (AUDIO)
COURS DU 1 OCTOBRE (AUDIO)
C’est une naturalisation de l’inégalité, on peut mesurer le pouvoir à la façon dont il est accepté. La violence n’est pas que physique, elle a toujours un caractère symbolique.
Il n’y a pas de pouvoir sans violence, cela n’existe pas. Il n’y a pas non plus de pouvoir sans acceptation, sans consentement. Les rapports complexes entre violence et acceptation.
1) relation sociale
Le pouvoir n’est pas transitif, ce n’est pas parce que A à du pouvoir sur B et B à du pouvoir sur C que A à du pouvoir sur C. le pouvoir est une relation sociale qui circule en permanence, le racisme est une forme de pouvoir, le sexisme, ils traversent la société. Le pouvoir est une action exercé sur d’autre action, on a donc des inconnus. Le pouvoir c’est aussi de faire faire quelque chose à quelqu’un. Le pouvoir n’est pas une substance, ce n’est pas un capital qu’on pourrait compter, c’est une relation. On n’est pas dans un système pyramidal. Il y a un paradoxe originel du pouvoir d’état. Le pouvoir est justifié parce qu’il met fin à a violence dans la société.
Le concept d’idéologie dans le marxisme, est un concept de fausse conscience. Une fausse conscience c’est l’idée que le pouvoir va nous faire accepter la domination. L’idéologie masque les rapports. On pourrait considérait que les inégalités sont injuste et liée à des rapports violent dans la société, l’idéologie va permettre de trouver ses inégalités juste pour le peuple.
*Le pouvoir ne peut pas se maintenir uniquement par la violence. La violence ‘n’est peut-être pas l’instrument le plus efficace d’un pouvoir pour s’exercé et se maintenir.
*La
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