Période D'austérité Sur Les P.I.B.
Note de Recherches : Période D'austérité Sur Les P.I.B.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Simps • 25 Février 2013 • 646 Mots (3 Pages) • 633 Vues
Période d’austérité sur les P.I.B.
(Source : O.F.C.E. 2011 – INSEE, auteur : Eric HEYER)
Récession et dégradation :
En 2011 le P.I.B. une inflation de 1,6 % était prévue, en année 2012 la réalité été de 0,8 % cette déchéance est due a la croissance spontanée des taux de prêts, ce qui entraine une déclinaison financières indirecte. L'accroissement des prix de fabrications et de revente des mes produits engendre un supplément de taxation direct ou indirect, qui peut influencer le coût réel de fabrication et de vente.
Durant la période 2007 - 2009 a réapparu la crise mondiale de la seconde guerre mondiale venant des U.S.A., cela a engendré une baisse du P.I.B. français de -1,5 %.
Au cours de l'année 2009 une prise de politique financière a été mise en plans pour ne pas revivre le crack financier des U.S.A. en 1929, sinon selon les chiffres préventifs auraient atteins -4,8 % ils sont arrivés a -2,7 % du P.I.B.
Tableau 1 : Les périodes de récession en France
En %, moyenne annuelle
1921 1927 1930 1931 1932 1934 1935 1938 1975 1993 2009
PIB -4,4 -2,0 -2,6 -3,9 -8,8 -3,4 -2,5 -2,5 -1,0 -0,9 -2,2
PIB par tête -5,0 -2,1 -3,5 -4,8 -8,8 -3,5 -2,5 -2,5 -1,4 -1,3 -2,7
Sources : INSEE, CEPII (Pierre Villa), calculs et prévisions OFCE.
Retour d’une croissance en 2010 ? :
En suivant la lecture des indicateurs économiques cela aurait poussé vers une crise financière française, européenne et mondiale. Mais avec la reprise économique des pays émergeants, un accroît de 5 % sur le P.I.B. c'est produit suite à une chute de 1 % durant 2009. (Une croissance faible entraîne un manque de rentrer d’argent aux niveaux des impositions).
Croissance dynamique directe en 2011 – 2012 :
Au cours du premier trimestre 2011 une accélération de 0,9 % du P.I.B. français a été constatée, mais cette hausse n’a pas comblé le retard de production que l’économie française avait accumulé depuis le début de la crise. Comme cette activité demeure très en dessous de sa tendance d’avant crise, les effets majeurs sont la réapparition d’une masse de chômage et la dégradation des finances publiques.
Trois ans après le début de la crise l’éventuel rebond de l’économie française aurait du être essentiel pour correspondre à une forte croissance de 3,8 % au cours des années 2011 et 2012 cela permettrai de comblé le retard accumulé 5 ans au début de la crise. Le taux de chômage de 2007 pourrait être retrouvé.
La croissance dynamique ralentit par une nouvelle période d’austérité :
Provenant de l’extérieur deux chocs freineront un retour à un éventuel retour à la stabilité du P.I.B., la flambée du prix des matières premières et l’un des deux chocs. L’accroissement
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