Politique budgétaire
Rapports de Stage : Politique budgétaire. Recherche parmi 301 000+ dissertationsPar rida1420 • 1 Juin 2013 • 1 353 Mots (6 Pages) • 1 126 Vues
POLITIQUE BUDGETAIRE
Champs théorique
Champs empiriques / pratiques
SECTION I : UN OUTIL DE POLITIQUE ECONOMIQUE CONTESTE
I définitions et concepts de base
• déficits budgétaire
Situation où les dépenses du budget de l’état sont supérieures au recettes de l’état.
2000 : loi de Finance :
D = 1692 MMF
R = 1473,7 MMF
Solde = déficit de l’etat = -215,3 MMF
Pour les Keynésiens = moyens de relance de l’économie
• déficit public
Notion plus large car au solde des dépenses et recettes de l’état, on va rajouter le solde des dépenses et recettes des collectivités locales et des organismes de sécurité sociales.
Les organismes de sécu sociales et collec pub dégagent des excédents faibles.
Maastricht : critères= déficit public
• dette publique
ensemble des emprunts effectués par l’état.
Titre émis par l’état (long terme = obligation ; cours moyen terme= bons du trésor)
Déficit budgétaire = recettes courantes – dépenses courantes – charges d’intérêts < 0
Solde primaire = recettes courantes – dépenses courantes
Charge d’intérêt = taux d’intérêt x stock de la dette publique
La France l’année dernière a dégagé un excédent de solde primaire en 2000.
• Le projet de loi de Finance
Est déposé au parlement mais non encore adopté
• La loi de finance initiale
Adoptée par le parlement à l’automne et donne le déficit prévu
• Loi de Finance rectificative
En cours d’exercice, lors de changement de gouvernement par ex, changement de politique adoptée par le parlement.
• loi d’exécution
donne le déficit réalisé
• loi de règlement
déficit primaire réalisé
La France supporte lourdement les dettes passées.
II – Quelques chiffres
Voir dossier tableaux p.20,21 & 22
95 96 97 98 99 00 01
Déficit public -5 -4,1 -3 -2,9 -1,8 -1,5 -1,1/-1,3
Dette publique
(Maastricht=60)
RATIO : Dette/PIB 52,7 57,1 59,2 59,3 58,6 58 57,4/57,5
RATIO : Dette/PIB : Si l’augmentation des taux d’intérêts réel est supérieur à l’augmentation de la croissance économique
• Les déficits publics
La réduction des déficits publics se poursuit (156,8 milliards de F en 99) car les recettes augmentent plus rapidement que les dépenses.
Comment ?
Recettes : augmentation de la CSG, TVA (95), ISF, IS
Dépenses :maintenu dépenses en Francs constants (hauuse des dépense au m^le rythme que l’inflation).
- le déficit publique
le redressement budgétaire s’est accentué depuis le milieu des 90’s,
- les administrations publiques sont excédentaires en 99
- compte des administrations de sécurité sociale sont également excédentaires
III – LE MUMTIPLICATEUR BUDGETAIRE ET LES POLITIQUES DE RELANCE PAR LA DEMANDE
L’efficacité des politiques budgétaires repose sur un argument théorique : le multiplicateur.
1. Le principe du multiplicateur Keynésiens
- Les dépenses de l’Etat
i. Achats de B&S aux entreprises : Dépenses Publiques
ii. Dépense de transfert (aide + services aux entreprises, transferts sociaux et ménages)
iii. Dépenses de fonctionnement
iv. Dépenses liées à la charge d’intérêt
Dépenses Publiques = Levier important pour agir sur la croissance économique & sur l’emploi (risque d’effets pervers sur l’inflation et équilibre commerce extérieur)
= instrument de régulation conjoncturelle
- le multiplicateur budgétaire
A tout moment on a :
Y + M = C + I + G + X
Y = prod
M = importation
C= Conso des ménages
I = investissement
G =dépenses pub
X = exportation
ECO OUVERTE = augmentation des dettes publiques = G
sous l’hypothese de sous emploi des facteurs de production
Si dépenses Augmentent G, toutes choses étant égales par ailleurs,
Y
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