L’élasticité-prix mesure
TD : L’élasticité-prix mesure. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Yukki77 • 29 Février 2016 • TD • 1 031 Mots (5 Pages) • 585 Vues
Exercice 1 (5 points)
Vrai Faux
L’élasticité-prix mesure la sensibilité de la demande par rapport au prix V
Les ménages français dépensent moins pour manger en 2008 qu’en 1960. F
Le taux d’épargne correspond à la part du revenu disponible des ménages qui n'est pas utilisée en dépenses
de consommation finale
V
Quand le pouvoir d’achat augmente, les dépenses consacrées aux loisirs augmentent. V
La consommation dépend uniquement du prix des biens et services F
La production non marchande est évaluée aux coûts de production V
Le pouvoir d’achat et revenu disponible sont deux notions identiques F
La part de la consommation alimentaire d’un ménage dont le revenu augmente de 25% diminue dans le
budget total du ménage. Les revenus sont-ils les seules ressources permettant aux ménages de satisfaire
leurs besoins ?
F
Consommer des biens de luxe permet de se distinguer V
La mode n’a aucune influence sur la consommation. F
Exercice 2 (6 points)
Faites une phrase présentant le sens des données en gras. (1 point)
Selon l’INSEE, en 2004, les employés percevaient un salaire mensuel moyen de 1393 euros.
Selon l’INSEE, en 2004, sur 100 employés, 63 sont partis en vacances.
Comparez les consommations présentées dans le tableau des ouvriers et des employés. (1 point pour lectures,
1 point pour écart en points, 1 point pour cm)
Selon l’INSEE, en 2004, sur 100 employés, 63 étaient partis en vacances alors que sur 100 ouvriers, 48 étaient partis en
vacances, soit un écart de 15 points en faveur des employés.
Cned – 7SE20CTPA0115 2/3
De même, selon l’INSEE, en 2004, sur 100 employés, 63 ont lu au moins un livre au cours de l’année alors que sur 100
ouvriers, 32 ont lu au moins un livre au cours de l’année, ce qui signifie que les employés lisent près de 2 fois (1,97) plus que
les ouvriers.
Enfin, selon l’INSEE, en 2004, sur 100 employés, 71 possédaient un micro-ordinateur alors que sur 100 ouvriers, 63 en ont un
(1,97 = 63/32), soit un écart de 8 points en faveur des employés.
Par contre, selon l’INSEE, en 2004, sur 100 ouvriers, 30 sont allés au musée au moins une fois dans l’année alors que sur 100
employés, 17 seulement y sont allés, soit un écart de 13 points, les ouvriers allant près de 2 fois (1,76 = 30/17) plus au musée
que les employés. Enfin, selon l’INSEE, en 2004, sur 100 ouvriers, 85 avaient une voiture alors que sur 100 employés, 76 en
avaient une, soit un écart de 9 points en faveur des ouvriers.
Quel lien peut-on établir entre ces choix de consommation et les catégories socioprofessionnelles ?
Par suite, nous pouvons en conclure que si les choix de consommation sont en partie conditionnés par le revenu, d’autres
facteurs vont jouer un rôle déterminant puisque, bien que dotés d’un revenu légèrement supérieur, les ouvriers partent moins en
vacances, lisent moins que les employés, qui eux vont moins au musée que les ouvriers. Nous pouvons donc affirmer que la
catégorie socioprofessionnelle constitue l’un des déterminants (facteurs) dans le choix de la consommation des ménages.
Exercice 3 (4 points)
Le « tout le monde » auquel fait référence Jacques Séguéla concerne-t-il l’ensemble de la société française ?
Le “tout le monde” auquel fait référence
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