L’industrie et le marché de l’automobile français en 2009 et 2010
Analyse sectorielle : L’industrie et le marché de l’automobile français en 2009 et 2010. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar titi66 • 9 Mai 2015 • Analyse sectorielle • 325 Mots (2 Pages) • 598 Vues
DEVOIR ECONOMIE
Sujet : l’industrie et le marché de l’automobile français en 2009 et 2010
#Question 1
Les constructeur automobiles ont du baisser les capacités de production principalement due à la crise.
D’une part la capacité de consommation des ménages à baisser donc forte baisse de la demande mondiale de vehicules (particuliers et pro) ;
D’autre part la chute des ventes qui a pu entrainer une grosse perte au niveau du stockage, ce qui équivaut une perte pour le producteur.
#Question 2
Tout d’abord, 2009, une baisse de 38% de la demande de véhicules industriels ;
Et quant au premier semestre de 2010, la demande continue de diminuer avec une re-baisse de 24%.
Selon moi deux éléments sont succeptibles d’expliquer cette baisse :
-hausse du prix du carburant
-chute du pouvoir d’achat des ménages, donc ralentissement de l’activité des entreprises.
#Question 3
poids élevé des charges sociales sur les salaires et la dérive des couts salariaux depuis 2000 ainsi que la fiscalité ; passage du taux de marge de 40 en 2000 à 7 en 2008.
#Question 4
L’émission de CO2 est cette externalité négative liée à la commercialisation de véhicules automobiles qui justifie l’intervention de l’Etat.
Mise en place de prime à la casse par l’Etat qui lutte contre la pollution, favoriser les véhicules neufs (moins polluants)
#Question 5
Degrés d’ouverture du secteur auto français ne cesse de croître.
Europe Occidentale, parts de marchés :
-22,4% (+0,8 points) du marché des voitures particulières
-38,2% (+3,7 points) du marché des véhicules utilitaires légers
#Question 6
Repose sur la théorie du libre échange, basé sur une logique de spécialisation.
Les constructeurs automobiles sont en général des firmes multinationales produisent leurs produits dans les pays qui offrent le plus d’avantages souvent en termes de coûts (production, main d’œuvre etc.).
Et vendent dans les pays ou la demande est présente.
Le libre échange ne profite pas à tout le monde, notamment pas aux pays pauvres spécialisation imposer par les pays développés (riches).
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